Ses projets nous coûteront tous très cher, un coût dont il n’aura jamais à s’inquiéter
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Malgré toutes les choses ennuyeuses que fait Justin Trudeau, ce sont ses politiques qui sont les plus agaçantes.
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Oubliez ses vacances somptueuses, ses voyages embarrassants à l’étranger ou son habitude de dénigrer les gens, il a simplement des politiques ridicules qui nuisent au Canada.
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Souvent, ses politiques finissent par être contradictoires.
Prenez par exemple ses efforts au cours de la dernière année pour implanter des usines de fabrication de véhicules électriques au Canada. Il a fait tout son possible et a subi beaucoup de pression politique en offrant d’importants incitatifs fiscaux pour faire de Volkswagen et de Stellantis les piliers de la future base de fabrication automobile du Canada.
Étant donné que l’industrie passe à l’électrique, c’était la bonne chose à faire et une décision judicieuse. Malgré ce que disent les critiques, cela ne nous coûte pas des milliards et aucun argent n’est distribué, les entreprises bénéficient simplement d’allégements fiscaux si elles atteignent des objectifs de production assez élevés.
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Puis, il y a deux semaines, le gouvernement Trudeau a annoncé une nouvelle politique visant à forcer les gens à acheter des véhicules électriques. Le gouvernement exige que 20 % de tous les véhicules de tourisme vendus au Canada en 2026 soient électriques, ce chiffre passera à 60 % d’ici 2030 et à 100 % d’ici 2035.
Trudeau vient de déployer tous ses efforts pour implanter la fabrication de véhicules électriques ici et exigera désormais que les Canadiens achètent des voitures électriques fabriquées à l’étranger. Ce n’est pas seulement mon point de vue, c’est aussi la façon dont l’industrie le voit.
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Flavio Volpe, président de l’Association des fabricants de pièces automobiles, s’est tenu aux côtés de Trudeau lors des annonces de Stellantis et de Volkswagen, mais considère cette dernière comme insensée.
« C’est une noble tentative de décarboniser le secteur des transports. Cependant, cela ne réussira qu’en augmentant les ventes de voitures importées de Chine et du Vietnam par rapport aux voitures fabriquées par les Canadiens », a déclaré Volpe.
C’est un assez bon résumé du problème.
C’est aussi un exemple d’un ministère, celui de l’Environnement, qui sape la politique industrielle du gouvernement.
Ce mandat sera en place avant que les options de véhicules électriques fabriqués au Canada ne soient disponibles pour les consommateurs qui se verront également offrir une subvention fédérale et, dans certains cas, provinciale pour acheter des voitures fabriquées en Chine. Cela donnera un avantage concurrentiel aux fabricants chinois, augmentera leur part de marché et garantira des emplois aux travailleurs chinois plutôt qu’aux travailleurs canadiens.
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Tout cela est motivé par le fanatisme d’Environnement et Changement climatique Canada, qui frise le religieux.
À l’heure actuelle, le gouvernement Trudeau cherche à étendre son interdiction sur les plastiques alors même qu’un tribunal a annulé l’interdiction existante sur des articles comme les pailles et les couverts en plastique. Aujourd’hui, ils envisagent de mettre fin à l’utilisation du plastique dans la vente au détail de produits alimentaires.
Ils ont demandé aux grands épiciers de trouver des moyens d’utiliser moins de plastique dans l’emballage des produits qu’ils vendent. À première vue, c’est un objectif louable et on utilise souvent trop de plastique ou d’autres matériaux pour exposer ou vendre un produit.
Le problème est que le plastique a joué un rôle clé pour garder nos aliments frais et sûrs. L’élimination de tout le plastique, l’objectif déclaré du gouvernement, entraînera une hausse des prix et davantage de gaspillage alimentaire, selon Dr Sylvain Charleboisle professeur d’alimentation du Canada.
À une époque où les prix des aliments augmentent plus rapidement et plus que le taux d’inflation, cette décision ne fera que nuire aux familles canadiennes, en particulier à celles qui en ont les moins les moyens. Comme pour la politique sur les véhicules électriques, il semble que la pureté de la politique environnementale soit plus importante que tout impact sur les Canadiens.
Les libéraux de Trudeau semblent déterminés à passer au vert à tout prix, sauf que vous en assumerez le coût.
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