Les libéraux s’en prennent dans toutes les directions, signe qu’ils ne sont ni confiants ni en contrôle
Contenu de l’article
Le désespoir s’est définitivement installé à l’édifice Langevin, où se trouve le bureau du premier ministre sur la Colline du Parlement. Vous pouvez le voir dans la façon dont ils agissent et qui et quoi ils attaquent alors qu’ils tentent de convaincre les électeurs de leur pertinence.
Publicité 2
Contenu de l’article
Les libéraux de Trudeau sont tellement en difficulté qu’ils attaquent le chef conservateur Pierre Poilievre pour un événement auquel il n’était pas présent, auquel il n’a pas participé et qu’il n’a pas aidé à organiser. Ils l’accusent maintenant de « Quebec bashing » pour avoir osé critiquer les politiciens de Montréal et de Québec pour avoir entravé la construction de nouveaux logements.
Contenu de l’article
Nous voyons même le premier ministre Justin Trudeau attaquer un candidat conservateur lors d’une élection partielle qui n’a pas encore été déclenchée.
Ce ne sont pas les actions d’un gouvernement confiant et responsable. Les libéraux sont théoriquement toujours aux commandes, ils gouvernent comme s’ils avaient la majorité grâce au malheureux accord de coalition du NPD, mais l’équipe Trudeau n’a aucune raison d’être confiante à la reprise du Parlement.
Publicité 3
Contenu de l’article
Cela fait presque six mois que les conservateurs ont pris et tenu une une avance à deux chiffres sur les libéraux. L’avance varie de 10 à 19 points selon les sondages, mais la ligne de tendance est claire : ces chiffres pointent tous vers un gouvernement conservateur majoritaire sous Poilievre.
Les libéraux ont détenu pour la dernière fois une avance dans un sondage le 29 mai 2023 et une avance significative pour la dernière fois le 16 juin 2022. Pour aggraver les choses, la popularité personnelle de Trudeau est à son plus bas niveau, c’est exactement pourquoi ils s’en prennent. dehors.
Après avoir passé des mois à comparer Poilievre à Donald Trump, une comparaison risible, ils exigent cette semaine que Poilievre condamne un apparition de Tucker Carlson en Alberta. Carlson, l’ancien animateur de Fox News devenu sensation médiatique indépendante aux États-Unis, a prononcé deux allocutions à guichets fermés à Calgary et à Edmonton où il a visé le gouvernement libéral de Trudeau.
Publicité 4
Contenu de l’article
Tandis que la foule dévorait ses plaisanteries, elles dérangeaient clairement les libéraux à la peau mince.
Après que la première ministre de l’Alberta, Danielle Smith, ait suggéré, au sens figuré, que Carlson mette le ministre de l’Environnement Steven Guilbeault dans sa « ligne de mire », le ministre libéral et ses collègues ont pris les mots au pied de la lettre. Guilbeault et ses collègues ministres ont accusé Carlson de « m’avoir mis une cible dans le dos ».
« Cela accroît la violence politique contre tous ceux qui se présentent aux élections dans ce pays », a-t-il déclaré.
Quelle merde.
Des termes comme cible, réticule, etc. sont courants dans le discours politique et utilisés par toutes les parties. Les libéraux agissent simplement comme s’ils étaient des appels littéraux à la violence alors qu’ils sont désespérés et ont besoin de se distraire de leurs échecs.
Publicité 5
Contenu de l’article
Recommandé par l’éditorial
-
Trudeau accuse Poilievre d’avoir voté contre le libre-échange avec l’Ukraine pour apaiser Poutine
-
Le chef du NPD dit que travailler avec les libéraux sur l’assurance-médicaments, c’est comme lutter avec des anguilles « visqueuses »
-
WARMINGTON : Tucker Carlson largue des bombes que l’Alberta n’oubliera pas de sitôt
En plus de prétendre à tort que l’événement incitait à la violence, les ministres réunis ont affirmé qu’il s’agissait d’une expression d’idées inacceptable et d’une source de discorde. Les libéraux ne semblent pas comprendre qu’ils sont eux-mêmes divisés dans la façon dont ils pratiquent leur politique.
Quatre ministres ont dénoncé la visite de Carlson, affirmant que c’était le conservatisme de Trump à la MAGA qui n’était pas bienvenu et inacceptable au Canada, puis y liant Poilievre. Ils ont diffusé des publicités liant Poilievre et Trump et envoyant le même message.
Publicité 6
Contenu de l’article
Essentiellement, les libéraux tentent de qualifier Poilievre et ses partisans de non-Canadiens, une déclaration plutôt controversée, puis de les accuser de semer la discorde.
Les journalistes écoutant les bêtises de Randy Boissonnault, Pascale St-Onge, Guilbeault et Pablo Rodriguez n’en ont rien compris et ont repoussé leurs affirmations.
Quant au premier ministre qui a qualifié Jamil Jivani, ancien collègue de Postmedia et actuel candidat conservateur dans Durham, de « deux », cela montre simplement que les libéraux sont inquiets. Un Premier ministre en exercice affrontant un candidat comme Jivani qui n’est même pas élu n’est pas bon signe pour les libéraux.
Le fait que Trudeau se soit abaissé à insulter Jivani et, selon certains, ait utilisé un sifflet raciste en le faisant, montre jusqu’où Trudeau est prêt à aller pour conserver le pouvoir à tout prix.
Contenu de l’article