[ad_1]
Lila: An Inquiry into Morals de Robert Pirsig est le livre de suivi de Zen and the Art of Motorcycle Maintenance. Dans ce deuxième volume, Pirsig dépasse les idées qu’il illustre dans son premier roman pour explorer ces concepts encore plus profondément. Le livre est l’histoire du personnage principal, Phèdre, une version très légèrement voilée de Pirsig lui-même, remontant la rivière Hudson avec sa passagère nouvellement acquise, Lila. Juxtaposé à l’histoire se trouve le récit philosophique de Phèdre, alors qu’il explique le morceau de littérature persuasive qu’il écrit. Il explique que ce projet est né avec son ami, le professeur Dusenberry, et une cérémonie de quête de vision induite par le peyotl dans une réserve indienne. Phèdre commence à étudier le domaine de l’anthropologie dans l’espoir que ses idées puissent être entendues, pour se rendre compte que le domaine de l’anthropologie est mis en place de manière à rejeter des idées telles que les siennes. Il décide plutôt d’opérer sous l’égide de la métaphysique, où ses concepts peuvent vraiment s’épanouir et s’épanouir dans la direction qu’ils choisissent. En substance, Phèdre se rend compte qu’il va devoir rogner sur les fondements mêmes de la science et de la philosophie pour être entendu et qu’il est le meilleur homme pour s’attaquer à une entreprise aussi gigantesque.
Selon Phèdre, l’univers est divisé en catégories « statiques » biologiques, inorganiques, sociales et intellectuelles. L’opposé de la qualité statique est la « qualité dynamique », qui ne peut pas être définie. Les idées de Phèdre sont attaquées par le personnage de « l’avocat du diable » Richard Rigel que Phèdre considère comme imprégné d’idéalismes victoriens. Phaedrus navigue avec Lila tout en réfléchissant non seulement aux idéaux victoriens, mais à la progression de notre culture depuis l’époque victorienne, à travers les guerres mondiales, la révolution hippie et jusqu’à nos jours.
En attendant, Pirsig raconte l’histoire de Lila, la femme que Phèdre récupère dans un bar de Kingston, et qui fait une dépression nerveuse. Phèdre, qui a eu ses propres expériences avec la folie, réfléchit au concept de sain d’esprit contre fou à la lumière de son exposition à Lila. Phèdre et Lila accostent à Manhattan et sont plongés dans le chaos et la corruption de la ville. Phaedrus rencontre Robert Redford pour discuter des droits cinématographiques de son premier livre, ainsi qu’avec son éditeur pendant qu’il est en ville. Les choses ne vont pas bien pour Lila une fois qu’elle est séparée de Phèdre, et elle descend plus bas dans sa réalité alternative. Elle finit par retourner au bateau de Phèdre, où il la trouve dans une transe catatonique, berçant une poupée qu’elle a pêchée dans la rivière. Phèdre se rend compte qu’il va devoir prendre soin d’elle, un fait qu’il ressent d’abord mais qu’il accepte plus tard. Après un drame avec une vieille connaissance de Lila, elle et Phèdre quittent Manhattan pour Sandy Hook, un port en amont de la rivière Hudson.
Richard Rigel les rencontre là-bas, et Lila décide de quitter le bateau de Phèdre et de voyager avec Rigel à la place, ce qui est en fait son objectif depuis le début. Rigel dit à Phèdre que Lila prétend que Phèdre essaie de la tuer. Rigel révèle également qu’il est l’obsession de Lila depuis un certain temps déjà et qu’elle l’a pourchassé dans tout l’État de New York. Phèdre est sous le choc du mensonge immoral de Lila et de son départ soudain. Une fois qu’elle est partie, cependant, Phèdre est capable de trouver la clôture du chapitre « Lila » de sa vie, et éprouve un profond sentiment de liberté et un nouveau départ. Il enterre sa poupée, qu’elle laisse sur le bateau, et se demande s’il commencera ou non là où il s’est arrêté dans son projet. Il décide de revenir aux idéalismes des Indiens afin de résumer simplement l’essentiel de sa théorie – que « bon » est un nom plutôt qu’un adjectif.
[ad_2]
Source link -2