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Roi du vent était probablement un choix de livre étrange pour les profondeurs grises de l’hiver, car la première moitié se déroule sous le soleil du Maroc. Le livre audio contient même de la musique marocaine qui joue au début de chaque chapitre. Le personnage principal, Agba, est un garçon esclave muet qui travaille dans les écuries du sultan. Agba semble avoir plus de facilité à se connecter aux animaux qu’aux humains. Il aime particulièrement un petit cheval fougueux nommé Sham. Le sultan décide
Roi du vent était probablement un choix de livre étrange pour les profondeurs grises de l’hiver, car la première moitié se déroule sous le soleil du Maroc. Le livre audio contient même de la musique marocaine qui joue au début de chaque chapitre. Le personnage principal, Agba, est un garçon esclave muet qui travaille dans les écuries du sultan. Agba semble avoir plus de facilité à se connecter aux animaux qu’aux humains. Il aime particulièrement un petit cheval fougueux nommé Sham. Le sultan décide d’offrir Sham et Agba au roi Louis XV de France, et c’est là que les choses se compliquent. Comparé aux chevaux européens, Sham a l’air malade et maigre. Le roi Louis ne veut pas de lui. Comme Sham se transmet de propriétaire en propriétaire, Agba fait tout ce qu’il peut pour le protéger et lui trouver de bonnes maisons.
La structure de ce roman me rappelle celle d’Anna Sewell Beauté noire. Sham est constamment transmis à de nouveaux propriétaires. Certains d’entre eux sont cruels et certains sont gentils. Certains acceptent Agba et d’autres ne veulent rien avoir à faire avec lui.
Il y a beaucoup de thèmes adaptés aux enfants dans ce livre. C’est une histoire de gentillesse. Agba sympathise avec les animaux et les protège lorsqu’ils ne peuvent pas se protéger. Beaucoup de personnages s’expriment lorsqu’ils voient quelque chose qui ne va pas. L’une des scènes les plus puissantes du livre est celle où un homme voit Sham être maltraité et propose de l’acheter, même si Sham est sur le point de mourir. Cette histoire parle aussi de la chance et du fait qu’elle ne dure pas éternellement. Ce n’est pas parce que la vie est mauvaise (ou bonne) en ce moment qu’il en sera toujours ainsi.
L’auteur mélange réalité et fiction. Agba est un produit de l’imagination de l’auteur, mais The Godolphin Arabian était un vrai cheval qui a vécu de 1724 à 1753. Il était un cadeau au roi Louis XV, qui l’a rapidement vendu comme cheval de charrette. Aujourd’hui, l’ascendance de la plupart des pur-sang d’Amérique du Nord remonte au Godolphin Arabian.
Roi du vent est un roman court et doux, mais j’ai quelques problèmes avec lui. Premièrement, de nombreux événements de l’intrigue reposent entièrement sur des coïncidences. Deuxièmement, la structure devient un peu fastidieuse. L’imposture est transmise de propriétaire, à propriétaire, à propriétaire, à propriétaire. Vous apprenez dans le premier chapitre que Sham deviendra un père de chevaux de course de renommée mondiale. Finalement, je suis devenu impatient avec le voyage. Passez juste à la partie course !
Mon plus gros problème est le manque de développement du personnage. Agba n’a pas beaucoup de personnalité ou d’histoire. Tout ce que vous apprenez sur lui, c’est qu’il est un garçon esclave marocain muet qui aime les animaux. Le livre se déroule sur des années. Le corps d’Agba change au fur et à mesure qu’il devient adolescent, mais son caractère n’évolue pas du tout.
Le narrateur audio, David McCallum, a un bel accent et une voix agréable. Cela ne me dérangeait pas de l’écouter pendant plus de 3 heures.
Dans l’ensemble, ce n’est pas l’un de mes gagnants Newbery préférés, mais j’aurais probablement adoré ce livre en tant qu’enfant fou de chevaux.
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