Les testicules mutilés d’un délinquant sexuel récidiviste dans le cadre d’une offre pour la prison pour femmes

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L’ancien combattant du MMA, Jody Matthew Burke, n’avait pas envie d’aller dans une prison pour hommes.

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Il n’a pas non plus accepté la désignation de délinquant dangereux avec laquelle il serait bientôt étiqueté.

La semaine dernière, Burke, 46 ans, a tenté de mettre à exécution sa menace de lui couper les testicules s’il n’était pas envoyé dans une prison pour femmes. Il a été transporté à l’hôpital et se rétablit, rapporte La Presse.

L’odyssée de quatre ans du tribunal de Montréal au cours de laquelle le délinquant sexuel condamné a fait exploser huit avocats avant de se défendre a pris fin vendredi avec sa condamnation à 15 ans de prison. Il a également été déclaré délinquant dangereux. Avec le crédit accordé pour la détention provisoire, il devra purger encore sept ans dans le slammer.

Burke a été reconnu coupable en mai 2021 de huit chefs d’accusation, dont des agressions sexuelles avec une arme causant des lésions corporelles et des menaces de mort.

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Il a omis d’informer sa femme et victime, Brigitte Jobin, qu’il occupait une place d’honneur dans le registre fédéral des délinquants sexuels pour les crimes sexuels violents en Colombie-Britannique et en Ontario.

Au cours du procès, l’un de ses nombreux avocats a fait valoir que la nature violente de Burke était due à sa « dysphorie de genre ».

Pour le dernier segment de l’affaire, il a été appelé « Amber » et a affirmé qu’il avait réalisé sa véritable identité sexuelle en 2019, 2020 ou était-ce en 2021 ? Le délinquant voulait la moindre désignation de « délinquant à contrôler ».

« J’ai dû passer par mon propre processus pour identifier que je n’étais pas un homme », a-t-il déclaré au tribunal, selon La Presse.

Une liaison homosexuelle a bouleversé sa perception de son identité de genre, a-t-il témoigné. Il y a plusieurs semaines, dit-il, il s’est avoué la vérité et collectionne même des photos des traits de la femme qu’il veut être.

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En prison, il a dit qu’il prenait toujours de la testostérone et qu’il retardait la transition parce qu’il avait peur des autres détenus. Un psychiatre nommé par le tribunal a déclaré que Burke courait « un risque élevé de récidive violente ».

Le rétrécisseur de tête a témoigné que Burke lui avait dit qu’il voulait devenir Amber.

Burke a témoigné que sa transition n’est « qu’une petite partie » de son parcours, admettant qu’il a fait « beaucoup de dégâts » à son ex-conjoint.

Jobin ne croit pas un seul mot qui sort de la bouche de Burke.

« Je pense que c’est de la manipulation. Il fait cela pour éviter l’étiquette de délinquant dangereux, qui le suivra toute sa vie», a-t-elle confié à La Presse.

« Le juge n’a pas cru son histoire tout au long du procès, alors il essaie une autre tactique en affirmant que toute sa violence est causée par sa dysphorie de genre. »

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@HunterTOSun

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