Les temps de chargement de God of War sont instantanés sur PC, mais vous ne le remarquerez peut-être pas

Les temps de chargement de God of War sont instantanés sur PC, mais vous ne le remarquerez peut-être pas

Dieu de la guerre impressionné sur PlayStation 4 en 2018, mais il y avait un problème flagrant : le temps de trajet rapide. Dans la version originale du jeu, il faudrait presque une minute entière pour aller d’un bout à l’autre du monde.

Parce que Dieu de la guerre jamais coupé de Kratos, il devait déguiser des écrans de chargement avec des portes ou des ascenseurs. Naturellement, cela a posé un problème pour un système comme le voyage rapide, qui, dans la plupart des jeux, amène simplement les joueurs sur un écran séparé avant de les faire revenir dans le monde. Dieu de la guerre fait un effort supplémentaire pour l’immersion, cependant, créant une sorte de dimension de poche dans laquelle Kratos et ses amis pourraient entrer – une salle d’attente circulaire, essentiellement – ​​et rester debout jusqu’à ce que la porte de leur nouvelle destination apparaisse, leur permettant de s’échapper dans une nouvelle zone .

Le port PC Windows, en revanche, techniquement se charge presque instantanément. Je le sais parce que la porte de sortie est toujours cohérente — c’est immédiat s’il n’y a pas d’histoire, et s’il y a une histoire, la porte apparaît toujours à la seconde où elle se termine. À moins que quelqu’un ne parle, je n’attends pas du tout. Le problème, c’est que les personnages parlent vraiment souvent. Donc, parce que je dois attendre qu’ils aient terminé leur dialogue, je suis souvent obligé d’attendre aussi longtemps que je l’ai fait sur PS4.

Cela ne me dérange pas vraiment, cependant. Chacun des contes de Mimir est si fascinant que même les entendre pour la deuxième fois, cela ne me dérange pas cette attente supplémentaire. La façon dont Sony Santa Monica a réussi à raconter des mythes séculaires tout en les intégrant dans l’ensemble Dieu de la guerre le récit est tout aussi impressionnant en 2022 qu’il l’était en 2018. Et avec autant de récits de Mimir détaillant Ragnarok et Thor, ils prennent un nouveau sens à mesure que nous nous rapprochons de Dieu de la guerre Ragnaroksortie plus tard cette année.

Bien que ces longues décharges de connaissances puissent sembler être des interruptions ennuyeuses sur votre chemin pour étouffer l’un des corbeaux d’Odin, les sessions de discussion plus longues sont en fait une bénédiction. Je préfère de loin une version de Dieu de la guerre où je suis coincé à écouter Mimir que celui où je peux accidentellement sauter ce qu’il a à dire. Ainsi, même si je ne sais jamais si je serai à destination dans un instant ou si je finirai par attendre que Mimir explique pourquoi ils appellent Odin «le pendu», je me retrouve toujours à espérer ce dernier.

Source-64