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Du l’avenir de la gestion du cloud à les dépenses liées au cloud à l’ère de l’apprentissage automatiquenotre dernier enquête auprès des investisseurs cloud m’a donné matière à réflexion. Cela m’est revenu à l’esprit lorsque j’ai lu un nouveau rapport sur les marchés du cloud. Celles-ci se sont consolidées en tant que nouvelle source de revenus, mais est-il jamais trop tôt pour que les startups empruntent cette voie ? Examinons cela. — Anne
Où est l’argent
Le ciel est la limite pour le marché du cloud. Si les bénéfices d’Alphabet ont dépassé les attentes au troisième trimestre, ce n’est certainement pas à cause de Google Cloud, dont les revenus ont augmenté de 37,64 % en glissement annuel au dernier trimestre, passant de 4,990 milliards de dollars à 6,868 milliards de dollars. Pendant ce temps, les services « Azure et autres services cloud » de Microsoft ont augmenté de 35 %.
Les dépenses engagées sont l’un des facteurs clés qui rendent les revenus du cloud résilients, même dans un contexte macroéconomique plus morose. Cela crée des vents favorables non seulement pour AWS et ses concurrents, mais également pour les éditeurs de logiciels indépendants qui vendent via leurs places de marché.