Les Sonnets


Shakespeare apparaît dans Tous les poèmes

Il n’y a aucun personnage identifiable par son nom dans ces sonnets, sauf dans quelques cas notés ci-dessous où Shakespeare juxtapose son propre nom, « Will », avec l’utilisation de « will », comme un jeu de mots sur la volonté.

Rose apparaît dans Sonnet 109

Le seul exemple d’un nom personnel, autre que Will, est Rose qui apparaît dans la dernière ligne du Sonnet 109. Shakespeare dit que Rose est tout ce qui compte pour lui dans l’univers. Le lecteur peut probablement supposer qu’il s’agit du nom de son amante.

Le cœur apparaît dans de nombreux poèmes

Puisqu’il s’agit de poèmes d’amour, le motif du cœur joue presque le rôle d’un personnage. Non seulement son propre cœur, mais aussi celui de son ou ses amants sont des forces motrices majeures dans de nombreux sonnets. Sonnet 24 : « Mon œil a joué le rôle du peintre et a renforcé/La forme de ta beauté à la table de mon cœur… Pourtant, des yeux aussi rusés veulent honorer leur art/Ils dessinent mais ce qu’ils voient, ne connaissent pas le cœur. »

L’œil apparaît dans de nombreux poèmes

Shakespeare utilise « œil » pour désigner la vision, qui peut souvent être en contradiction avec la réalité quand on est amoureux, mais aussi pour désigner la perception. Parfois, il oppose les deux sens différents, comme dans le Sonnet 69 : « Ces parties de toi que l’œil du monde voit/Ne veulent rien que la pensée des cœurs puisse réparer/En voyant plus loin que ce que l’œil a montré/Ils regardent. dans la beauté de ton esprit/Et qu’ils mesurent en devinant par tes actes ; Puis, crétins, leurs pensées, bien que leurs yeux fussent bons/A ta belle fleur ajoute l’odeur fétide de la mauvaise herbe.

La beauté apparaît dans de nombreux poèmes

La beauté, qu’elle soit masculine ou féminine, joue un rôle important dans les sonnets. Shakespeare fait l’éloge de sa bien-aimée pour sa beauté, dit que le monde n’apprécie pas sa beauté intérieure, mais prévient que sa beauté extérieure s’estompera et qu’elle devrait donc avoir son enfant.

Cupidon apparaît dans Sonnet 153

Cupidon, le dieu de l’amour, apparaît dans ce sonnet alors que Shakespeare récite brièvement l’histoire de Cupidon endormi près d’un feu dans le rôle de Diane, déesse de la chasse, qui prit un bâton brûlant et le plongea dans un lac de montagne froid devenu chaud. —un bain pour guérir les malades.

L’imperfection apparaît dans plusieurs poèmes

Dans plusieurs cas, Shakespeare pointe un doigt accusateur vers son amante et la réprimande pour un défaut de caractère, comme l’infidélité, pour ensuite se pointer du doigt et admettre qu’il a le même défaut.

Museapparaît dans les Sonnets 38, 78, 85, 100, 101, 103

En tant que poète, Shakespeare a un bouc émissaire facile lorsqu’il ressent le besoin d’écrire un sonnet à sa bien-aimée mais n’est pas satisfait du résultat : il impute cela à sa muse, qui, selon lui, a pris des vacances non autorisées de son esprit.

Le temps apparaît dans de nombreux poèmes

Le temps est présent dans ces poèmes comme une force immuable, qui balaie tout et tout le monde dans une sorte de marche insensée vers l’oubli. Shakespeare fait fréquemment allusion au temps comme à l’ennemi de l’homme. Le plus souvent, il utilise le temps comme un élément pour donner du caractère poignant à ses lignes.

La perte apparaît dans Sonnet 30 et autres

Dans certaines de ses humeurs les plus sombres, Shakespeare réfléchit à la perte : la perte de la beauté juvénile, de la santé et, finalement, de la vie elle-même. Dans le Sonnet 30 où il énumère ses pertes, Shakespeare conclut en disant à son amour que la contemplation d’elle restaure ses pertes et efface ses chagrins.



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