De plus Siakam complètement snobé par les coachs
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C’était les Raptors à leur pire, suivis de leur meilleur.
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Si quelqu’un cherche un microcosme de cette saison de haut en bas des Raptors à ce jour, le début du match d’hier soir et le début de la seconde mi-temps seraient le candidat idéal.
De ne pas pouvoir frapper un panier, ne pas pouvoir s’arrêter pour ne pas manquer et ne pas vouloir abandonner quoi que ce soit, c’est à peu près comme ça que ça s’est passé hier soir.
Heureusement pour les Raptors, il y avait un peu plus de ces derniers et moins pour les premiers, car ils ont transformé un autre départ démoralisant en une solide finition en route vers une victoire 117-111.
Les choses allaient si mal au début pour les Raptors que lorsque Nick Nurse a demandé un temps mort, il l’a fait pour faire bouger les choses, assoyant Scottie Barnes et Gary Trent Jr. et faisant entrer Chris Boucher et Malachi Flynn dans le match.
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En baisse de 9-0 à ce moment-là, cette décision a porté ses fruits immédiatement car Boucher, qui a connu un solide match hors du banc lors de la défaite en Utah la dernière fois, a rapidement trouvé la plage avec un tir à trois points.
Cela a immédiatement donné un peu de vie aux Raptors. Boucher en a marqué neuf dans le quart et a aidé son équipe à revenir dans le match.
La combinaison de Boucher et Fred VanVleet a réduit le déficit à un seul à la fin du premier quart.
Les Raptors ont été un peu meilleurs au deuxième quart, encore une fois sous l’impulsion de VanVleet, qui s’impose de plus en plus ces jours-ci.
Mais c’est le début de la troisième qui a transformé le match pour de bon.
Jusqu’à sept à la sortie de la mi-temps, les Raptors avaient cette avance jusqu’à 19 2:35 dans le quart.
VanVleet, dont tout le package offensif semble être revenu après des moments difficiles en décembre et à la mi-janvier, a terminé avec 32 points, dont cinq sur 11 marques sur trois.
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Juste avec VanVleet ce soir-là après cette première place sur le banc se trouvait le compagnon de la zone arrière Trent Jr.
Trent Jr. est revenu au sol à la fin du premier quart et a effectué ses huit tirs suivants en route vers une soirée de 29 points. Comme VanVleet, il a fait la plupart de ses dégâts derrière l’arc où il était 5 contre 9 à distance.
Boucher, la première bougie d’allumage de celui-ci a terminé avec 11 et huit rebonds, les seuls 11 points du banc des Raptors dans la soirée.
Avec la victoire, les Raptors sont maintenant à égalité 3-3 lors de ce plus long voyage sur la route de la saison. Ils peuvent encore assurer un voyage gagnant, mais il faudra une victoire sur Memphis lors de la finale du voyage dimanche pour le faire.
SIAKAM SNUBE
Pascal Siakam n’est peut-être pas au sommet de son art en ce moment, mais cela ne laisse en aucun cas ces entraîneurs qui l’ont jugé indigne d’une place d’étoile.
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Siakam a facilement été parmi les 12 meilleurs joueurs de la Conférence Est cette saison. Cela ne fait pas l’objet d’un débat.
Mais pour une raison quelconque, les entraîneurs, et nous ne savons même pas vraiment qui fait le vote parce que les entraîneurs-chefs le transmettent à leur personnel, donc ce pourrait être des assistants principaux ou même des assistants de deuxième rangée qui font ces appels.
Quelle que soit la personne qui a voté, nous disons qu’elle s’est trompée.
Dans l’Est, ces entraîneurs considéraient DeMar DeRozan comme une star plus méritante que Siakam.
Et même si nous apprécions DeRozan, à la fois sur le terrain et en dehors où il est devenu l’une des citations les plus imprévisibles et les plus divertissantes de la ligue, ses chiffres ne correspondent pas à ceux de Siakam.
En 48 matchs, DeRozan affiche une moyenne de 26 points, 4,8 rebonds et 5,0 passes décisives par nuit. Siakam, sur 43 matchs, affiche une moyenne de 24,9 points, huit rebonds et 6,2 passes décisives.
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L’écart n’est pas si grand. L’explication la plus souvent donnée est que Chicago compte une victoire de plus que Toronto et trois défaites de moins.
La dernière fois que nous avons regardé, le match des étoiles était censé être une question de grandeur individuelle au cours d’une année donnée. Ne vous méprenez pas, les deux ont de bonnes années et aucune des équipes ne met exactement la peur de Dieu dans l’adversaire, mais Siakam a la meilleure saison individuelle et c’est sans même entrer dans ce que l’un ou l’autre fait défensivement pour son équipe, quelque chose qui serait faire pencher la balance encore plus en faveur de Siakam, bien que peu considèrent la défense lorsqu’il s’agit du match des étoiles.
La réponse, et c’est un ancien joueur, maintenant le chouchou des médias que JJ Reddick réclame, est d’élargir les listes d’étoiles.
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Chaque année, sans faute, quelques minutes après l’annonce de l’équipe complète, le cri de « Il s’est fait voler » retentit.
Qui a été le plus gros camouflet cette année ?
Siakam est tout en haut de cette liste dans l’Est, mais il est en bonne compagnie avec Jalen Brunson des Knicks, James Harden de Philadelphie et même Trae Young d’Atlanta.
Dans l’Ouest, des cris d’irrespect suivent Aaron Gordon de Denver, De’Aaron Fox de Sacramento, Anthony Davis des Lakers et Anthony Edwards du Minnesota.
Les traditionalistes vous diront que l’ajout de plus de corps au jeu des étoiles dévalue l’accomplissement. C’est peut-être vrai. Et il y aurait encore des camouflets chaque année même s’il était élargi.
Mais si cela empêche un joueur vraiment méritant d’être laissé de côté, nous sommes tous pour et Siakam le mérite amplement.
SOUS LE TEMPS
Il manquait à l’émission d’hier soir l’homme du jeu par jeu, Matt Devlin, qui s’occupe de ces tâches, qu’il s’agisse d’un match TSN ou Sportsnet.
Mais la nuit dernière, Devlin ne se sentait pas au mieux de sa forme et a dû s’en aller. L’équipe s’est empressée d’obtenir que l’homme de la radio play-by-play Paul Jones à Toronto remplace Jack Armstrong fournissant la couleur depuis le sol à Houston aux côtés de la journaliste de touche Kayla Gray.