Death Stranding 2 : On The Beach explore l’évolution du gameplay avec des éléments surprenants et des défis inédits. Hideo Kojima intensifie la bizarrerie du premier opus tout en intégrant des retours des joueurs. Les environnements variés, comme des dunes de sable et des inondations soudaines, augmentent la complexité des livraisons. Les nouvelles menaces, telles que des événements environnementaux imprévisibles, et l’interaction entre joueurs ajoutent une dimension supplémentaire à cette expérience immersive et addictive.
Exploration des Mystères de Death Stranding 2 : On The Beach
Ce que nous avons pu découvrir de Death Stranding 2 : On The Beach semble indiquer que Hideo Kojima a pris en compte les critiques de son jeu au fil des ans et a décidé de s’y plonger avec une touche d’ironie. En intensifiant le côté bizarre du premier opus et en se tournant vers les joueurs pour des retours, il intègre des éléments surprenants tels que des dirigeables émanant de la bouche de bébés étranges, des marionnettes vivantes en stop-motion et même des batailles de guitare électrique. Cependant, ma question principale demeure : comment cette abondance de sable influencera-t-elle mes parcours de randonnée soigneusement planifiés pour livrer des colis qui pèsent le double de ma taille ?
Ne vous y trompez pas, je suis conscient que cette bizarrerie saura sans aucun doute attirer l’attention des curieux de Death Stranding. Toutefois, les véritables passionnés de livraisons comme moi attendent avec impatience chaque nouvelle région (dans cette suite, Sam Bridges étend le réseau UCA au-delà des États-Unis), révélant des défis inédits pour le cœur même de la série : maintenir son sac à dos bien en place tout en avançant pour livrer les colis. Des falaises abruptes ! Des dunes de sable ! Des inondations !? Des glissements de terrain !? J’éprouve une certaine appréhension, mais je suis également captivé.
Une Évolution des Environnements et des Défis
De nombreux jeux présentent des environnements visuellement époustouflants et réalistes. Je pense à Hellblade 2, un titre que je n’ai pas particulièrement apprécié, mais qui était d’une telle beauté qu’il m’a fait ressentir que j’étais pris dans un vieux film, attendant qu’un train surgisse de l’écran. Cependant, dans ce cas, l’accent était surtout mis sur le visuel, embellissant un design plutôt linéaire. En revanche, le premier Death Stranding offrait non seulement des paysages majestueux et nordiques, mais chaque élément du décor était essentiel à l’expérience, minute par minute – non, seconde par seconde.
La mécanique de livraison, qui vous pousse à optimiser votre temps tout en portant des colis pesant des tonnes, vous amène à réfléchir profondément sur vos choix : allez-vous courir en bas d’une pente abrupte ou chercher un chemin plus doux ? Allez-vous risquer de traverser une large rivière ou suivre une voie plus étroite avec un courant plus calme ? Et combien de pitons et de cordes devez-vous emporter pour sortir de situations délicates tout en gardant de la place pour une autre livraison ? Certains pourraient penser que cela semble ennuyeux, mais statistiquement parlant, beaucoup d’entre vous se trompent. Il est incroyable de constater à quelle vitesse cette boucle de gameplay devient addictive et immersive.
Chaque nouvel environnement aperçu dans Death Stranding 2 : On The Beach semble jouer avec cette immersion d’une manière variée. L’un des reproches souvent adressés au premier jeu était qu’une fois que vous aviez exploré la carte principale, vous saviez à quoi vous attendre. Il y avait des crags, des zones rocheuses, des forêts, des montagnes enneigées. Cependant, avec l’argument narratif d’élargir le réseau à de nouvelles régions, il y a beaucoup plus en jeu. En observant les dunes, je me demande déjà quelle serait la catastrophe d’un faux pas, entraînant ma chute, tandis que mon bébé essentiel pleurerait, et qu’un colis m’assommerait.
Les nouveaux dangers environnementaux semblent avoir un impact significatif sur la construction de chemins plus sûrs. Dans le premier jeu, les Voidouts créant des cratères étaient choquants mais rares, ayant peu d’impact à long terme pour ceux qui faisaient preuve de prudence. Cependant, Death Stranding 2 introduit des événements comme des inondations soudaines qui peuvent détruire des structures communautaires, telles que des ponts au-dessus des rivières.
En tant que « jeu de strand », certains objets et constructions sont partagés entre des groupes de joueurs interconnectés, avec des échelles ou des tyroliennes émergeant et étant entretenues par la communauté. Je m’interroge sur la manière dont les joueurs vont s’adapter aux conditions changeantes. Allons-nous nous rassembler autour d’infrastructures cruciales ? Certaines zones devront-elles être fermées ? Pourrons-nous maintenir les générateurs en ligne ? Et que va-t-il advenir des hologrammes amicaux qui vous encouragent avec un pouce levé ?
Enfin, même le Death Stranding (l’état du monde dans le jeu, pas le titre) semble avoir un poids encore plus important sur cette randonnée intense. Les BT fantomatiques et invisibles, qui étaient intimidants dans le premier jeu, deviennent prévisibles avec le temps. Les aperçus des nouvelles versions des BT dans Death Stranding 2, errant dans des zones mystérieuses, suggèrent que vous devrez être plus adaptatif que jamais pour faire face à ces dangers imprévisibles.
Avec ces nouvelles formations étranges créées par le Death Stranding, il sera intéressant de voir comment elles interféreront avec vos trajets quotidiens. Je suis impatient d’enfiler ma casquette, de porter un sac à dos surdimensionné et de partir conquérir ces dunes, une livraison à la fois.