Julia Wendell, une femme polonaise, prétend être Madeleine McCann, disparue en 2007. Lors d’une veillée en mémoire de Madeleine, elle a remis une lettre aux McCann, demandant un test ADN malgré l’avertissement de la police. Julia évoque des souvenirs d’enfance et des ressemblances physiques pour justifier ses affirmations. Malgré ses tentatives de contacter les autorités, celles-ci ont rejeté ses allégations, soulignant les conséquences émotionnelles pour la famille McCann déjà endeuillée.
Des allégations troublantes de Julia Wendell
Une femme polonaise, Julia Wendell, a récemment fait des vagues en prétendant être Madeleine McCann, la fille britannique disparue en 2007. Lors d’une veillée annuelle en mémoire de Madeleine, Julia a remis une lettre aux proches de la famille McCann, malgré l’avertissement de la police de ne pas entrer en contact avec eux. Cette situation a profondément troublé les parents, Gerry et Kate McCann, qui commémorent la perte de leur fille depuis des années.
Dans sa lettre, Julia a demandé aux McCann de consentir à un test ADN pour comparer leurs profils génétiques. Elle a justifié ses affirmations en évoquant des souvenirs d’enfance et des ressemblances physiques. « En mai 2022, j’ai commencé à réaliser que j’aurais pu être victime de la traite des êtres humains, » a-t-elle écrit. Julia a mentionné une cicatrice, des grains de beauté similaires, et une tache dans l’œil droit qu’elle partage avec Madeleine. De plus, elle a décrit des souvenirs d’enfance, tels que des interactions avec sa mère, Kate, et des jeux avec son frère.
Un parcours semé d’embûches
Julia a expliqué qu’elle avait tenté de contacter plusieurs autorités, y compris la police polonaise et anglaise ainsi qu’Interpol, sans succès. « Depuis le début, j’ai été ignorée par ces institutions, » a-t-elle déclaré, exprimant sa frustration quant au manque de soutien. Elle espérait que parler de son histoire sur les réseaux sociaux attirerait l’attention des médias et relancerait l’enquête.
Malgré ses efforts, les autorités ont été claires dans leur réponse. Lors d’un appel enregistré, un détective a souligné qu’elle n’était qu’une parmi de nombreuses personnes qui croyaient être Madeleine et a insisté sur le fait qu’il n’existait aucune preuve de ses allégations. Julia a été avertie de cesser ses tentatives de contact avec la famille McCann et la police britannique, sous peine de poursuites pour harcèlement.
La situation soulève des questions sur la manière dont des affirmations aussi troublantes peuvent affecter une famille déjà en proie à une tragédie. Les parents de Madeleine continuent de se battre pour la vérité, tandis que des personnes comme Julia cherchent désespérément une connexion à leur histoire.