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Mauvais cri par Jessica Johns

Dans ce premier film captivant et plein d’horreur, les rêves d’une jeune femme crie la conduisent dans un périlleux voyage de découverte de soi qui l’oblige finalement à affronter le bilan d’un héritage de violence sur sa famille, sa communauté et la terre qu’ils habitent.

Lorsque Mackenzie se réveille avec une tête de corbeau coupée dans les mains, elle panique. Quelques instants plus tôt, elle avait repoussé des masses d’oiseaux dans une forêt enneigée. Au lit, quand elle cligne des yeux, la tête disparaît.

Nuit après nuit, les rêves de Mackenzie la ramènent à un souvenir d’avant la mort prématurée de sa sœur Sabrina : un week-end au camping familial au bord du lac, longtemps obscurci par un brouillard de culpabilité. Mais quand le monde éveillé commence aussi à se refermer – un meurtre de corbeaux la traque à chaque mouvement dans la ville, elle se réveille d’un rêve de noyade en jetant de l’eau et reçoit des SMS menaçants de quelqu’un prétendant être Sabrina – Mackenzie le sait est plus qu’elle ne peut gérer seule.

En voyageant vers le nord jusqu’à sa ville natale rurale en Alberta, elle trouve sa famille toujours plongée dans le même chagrin qu’elle s’est enfuie à Vancouver pour s’échapper. Ils lui souhaitent la bienvenue, mais leurs retrouvailles chancelantes ne semblent qu’intensifier ses rêves – et les rendre plus dangereux.

Que s’est-il réellement passé cette nuit-là au bord du lac, et qu’est-ce que cela a à voir avec la mort de Sabrina ? Seul un mauvais Cri mettrait sa famille en danger, mais que se passerait-il si ce qui a appelé Mackenzie chez lui était déjà à l’intérieur?

Raisons de le lire : Johns utilise des tropes d’horreur pour déterminer les ramifications du traumatisme générationnel avec un effet parfait. Son écriture est descriptive tout en restant contenue. Choisissez celui-ci pour un récit effrayant qui parle d’esprits et de fantômes, mais aussi de guérison.

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