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OTTAWA — Un haut responsable du Parti vert affirme que « les méchants ont toujours une longueur d’avance » lorsqu’il s’agit d’interférer dans le processus politique canadien.
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Jon Irwin, le directeur exécutif par intérim du parti, a déclaré aujourd’hui lors d’une enquête fédérale que la tactique idéale pour un pays étranger serait de chercher à placer quelqu’un dans une « position de pouvoir » au sein d’un parti politique canadien.
L’enquête sur l’ingérence étrangère entend des représentants du Parti vert, du Bloc québécois et du Nouveau Parti démocratique.
Les dernières audiences portent sur la capacité des agences fédérales à détecter, dissuader et contrer l’ingérence étrangère.
Une préoccupation croissante est de savoir si les procédures des partis peuvent empêcher l’ingérence étrangère de perturber les processus de nomination des candidats.
Élections Canada a suggéré des changements possibles pour protéger le processus de nomination contre toute ingérence, notamment en interdisant aux non-citoyens d’aider à choisir les candidats et en exigeant des partis qu’ils publient les règles du concours.
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