Les grèves à Hollywood sèment l’incertitude dans les entreprises locales à l’approche du festival du film de Toronto

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La communauté d’affaires locale de Toronto craint qu’une paire de grèves touchant les travailleurs du divertissement américains ne mette un frein au prochain festival du film de la ville.

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Ils craignent qu’une grève des travailleurs de la Screen Actors Guild-American Federation of Television and Radio Artists qui ont quitté le travail à minuit le 13 juillet ne s’étende au Festival international du film de Toronto en septembre.

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Lorsque les travailleurs de la SAG ont rejoint la Writers Guild of America sur la ligne de piquetage, cela a interrompu des dizaines de productions internationales et a immédiatement arrêté le travail promotionnel que les acteurs effectuaient pour les films déjà terminés.

Julie Kwiecinski, de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante, affirme que la poursuite de la grève priverait de nombreuses entreprises de Toronto de l’ascenseur annuel que le festival offre.

Elle dit que même si le TIFF continue, sans que les stars ne marchent sur les tapis rouges, les impacts sur leurs revenus seraient énormes.

Alors que le directeur de la salle Julius Chapple dit que Rodney’s Oyster House ne reçoit pas beaucoup d’affaires du TIFF, il dit que ses voisins risquent d’être touchés par la grève car ils bénéficient de leurs visiteurs célèbres toute l’année.