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The Keepers of the House de Shirley Ann Grau est un roman multigénérationnel sur une famille américaine qui transcende le temps, passant des époques d’avant à l’après-guerre civile. Le domaine familial Howland s’étend sur de nombreux hectares dans les collines du comté de Wade. Au moment où la propriété a été choisie, William Marshall Howland venait d’être libéré de la guerre américaine de 1812 et ne voulait rien de plus qu’un chez-soi et une vue sur la rivière Providence. Il a construit la maison de ses propres mains. William a été assassiné par des Indiens en maraude, mais son nom et sa propriété ont été transmis aux générations suivantes. Au fil du temps, la ferme a été agrandie et des esclaves ont été employés pour aider à entretenir ses vastes champs. La famille récoltait du coton, du maïs, du sorgho, des porcs et du tabac, tout en participant à une exploitation forestière extensive. Shirley Ann Grau utilise la maison comme un élément permanent et fait pivoter les personnages et les événements de l’époque contre sa durabilité.
À une époque où les nordistes combattaient les sudistes et que les familles s’opposaient uniquement sur la couleur de leur peau, Grau tisse l’histoire d’un homme veuf, riche et bien connu de la communauté qui tombe amoureux de sa gouvernante, Margaret. Margaret est noire et vient d’une région connue sous le nom de New Church. Ils ont trois enfants ensemble, tous mulâtres par définition. Pendant ce temps, la fille de William Howland issue de son premier mariage rentre à la maison avec un enfant à elle. En conséquence, tous les enfants de William ainsi que sa petite-fille, Abigail, vivent ensemble en même temps sur la ferme Howland. Les enfants de Margaret, nommés Robert, Nina et Crissy, ont été envoyés dans des internats du nord pour recevoir l’éducation et l’avenir impartial que chaque parent espère pour son enfant. Les générations passent et le scandale est oublié jusqu’à ce que la petite-fille de William Howland épouse un politicien et que l’histoire ressuscite défavorablement. Malgré l’histoire familiale d’Abigail, son mari penche pour la ségrégation et ses électeurs sont mécontents lorsqu’ils apprennent les détails de certaines branches de l’arbre généalogique de sa femme. Abigail se rend compte que son mari ne lui est pas aussi dévoué qu’elle l’est à lui. En examinant ses comportements, elle apprend qu’il n’est plus l’homme honorable qu’elle croyait qu’il était. Comme son grand-père, même si son mariage s’effondre et que les habitants parlent, Abigail Tolliver est forte et capable de vivre seule dans la grande maison. Elle défend la maison, ainsi que la mémoire de son grand-père, de manière audacieuse qui choque la ville et nuit à son économie.
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