Vos personnages ont en quelque sorte développé une relation fraternelle au fil des ans. Comment cela a-t-il été de se développer à travers ces films?
Gillan : Oh, notre relation à l’écran ?
Sur l’écran, hors écran. Tout ce dont vous voulez parler.
Klementieff : A l’écran, la dynamique entre Nebula et Mantis est, euh…
Gillan : Turbulent.
Klementieff : C’est nul. Un petit frottement.
Gillan : Ouais, elle te donne du fil à retordre. Je suis désolé.
Klementieff : Mais dans la vraie vie, c’est le contraire.
Gillan : Ouais, elle me donne vraiment du fil à retordre [laughs] … Non, nous sommes amis. Elle était demoiselle d’honneur à mon mariage.
C’est tellement beau ! Il y a celui-ci qui se déroule dans le film qui, sans rien gâcher, semble-t-il… Je pense que « squishy » est le bon mot. J’aimerais savoir ce que c’était que de tirer sur ce genre de matériau organique, visqueux et gluant.
Klementieff : Oh, quand nous étions… [mimes placing a hand on something soft] quand vous avez utilisé vos bras. Ouais.
Gillan : [laughs] Ouais, cette scène, ouais, c’est assez intéressant. C’était comme si vous étiez à l’intérieur de quelque chose. Il y a quelque chose à l’intérieur. Mais cela ne semble pas très agréable, n’est-ce pas ?
Klementieff : Je me souviens m’être allongé et avoir fermé les yeux en imaginant que j’étais sur une autre planète. C’était amusant.
Ooh, ouais, ça semblait collant.
Klementieff : J’ai fait une sieste dans ma combinaison spatiale.
Gillan : Ouais, et parfois c’était plutôt agréable sur les murs quand on entrait à l’intérieur. Tu n’arrêtais pas de le toucher, n’est-ce pas ? L’un des plus spongieux ?
Klementieff : C’était un ensemble différent. C’était quand tu as mis ta main [on the squishy thing] et c’est censé ouvrir une porte… c’est tellement agréable.
Gillan : Ils sont du genre : « Voulez-vous arrêter de toucher le plateau ? »