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Un article de la Société canadienne du cancer indique qu’il existe « un très faible risque » que les femmes transgenres qui subissent une chirurgie du bas – comme dans une vaginoplastie – puissent « développer un cancer dans le tissu utilisé pour créer votre vagin et votre col de l’utérus ».
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En tant que tel, le plus grand organisme caritatif de lutte contre le cancer au Canada déclare dans Medical News Today que les femmes trans qui entrent dans cette catégorie devraient parler à leur médecin de la possibilité de se faire dépister pour le cancer du col de l’utérus, rapporte le Daily Mail en ligne.
Selon la SCC, un «néo-col», qui peut être fabriqué à partir de la peau du pénis, peut contracter le virus du papillome humain (VPH), qui est la principale cause de cancer du col de l’utérus.
Le VPH est une maladie sexuellement transmissible qui peut être contractée lors de relations sexuelles vaginales, anales ou orales.
Les femmes trans avec des organes génitaux masculins n’ont pas de col de l’utérus et ne courent donc pas de risque de cancer du col de l’utérus.
Les femmes cisgenres et transgenres peuvent détecter le cancer du col de l’utérus grâce au frottis vaginal.
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La SCC a également déclaré que les femmes transgenres peuvent être «préoccupées par des choses comme la transphobie pendant le processus de dépistage», mais elle les encourage à se faire soigner pour le cancer du col de l’utérus.
La maladie tue plus de 600 femmes par année au Canada.