Les fans de la simulation de survie Rain World ont passé 5 ans à faire une extension si grande que c’est pratiquement une suite

Rain World: Downpour

L’humble Slugcat – la créature adorablement spongieuse au cœur de Rain World – est depuis longtemps l’une de mes baleines blanches. J’ai essayé (et échoué) de maîtriser l’art de la survie dans le monde sans compromis du Slugcat à plusieurs reprises depuis 2017. Avec la sortie de Downpour, ça a finalement cliqué. En plus d’être une extension titanesque pour l’épineux jeu de plateforme de simulation de survie, l’extension Downpour, après cinq ans de développement, contribue grandement à rendre le jeu original plus accessible et moins intimidant, avant de déchaîner une suite d’horreurs fraîches sur moi et me submerger à nouveau.

Rain World était la définition même d’un tube culte. A l’origine rencontré une confusion critique (la critique de notre propre Shaun Prescott étant l’une des rares vraiment positives), il est facile de voir pourquoi beaucoup ont rebondi dessus. Rain World est une bête désagréable et peu communicative. Entre une pression temporelle constante (une course contre des tempêtes de pluie pulvérisant la chair) et une IA imprévisible et sans attache, de nombreux joueurs attirés par de mignons animaux extraterrestres sont restés froids, humides, misérables et confus.

Rain World a trouvé son public à l’intersection des fans de documentaires sur la nature et de ceux qui jouent aux mods de survie STALKER

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