Les experts soulignent que le traitement antiviral COVID-19 de Pfizer ne remplace pas les vaccins

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On espère que l’approbation par Santé Canada du traitement antiviral COVID-19 de Pfizer contribuera à alléger la pression sur le système de santé du pays, alors que les hospitalisations continuent leur augmentation constante.

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La pilule utilise une combinaison de deux médicaments antiviraux pour empêcher le virus qui cause le COVID-19 de se répliquer une fois qu’il a infecté un patient, mais les responsables de la santé soulignent qu’il ne remplace pas les vaccinations.

Les essais cliniques ont montré que le traitement par Paxlovid réduisait le risque d’hospitalisation et de décès causés par le COVID-19 de 89 % lorsque les médicaments étaient commencés dans les trois jours suivant le début des symptômes, et de 85 % lorsqu’ils étaient commencés dans les cinq jours.

Le Dr Theresa Tam, médecin-chef du Canada, a noté que l’approvisionnement en Paxlovid sera un problème précoce, ce qui signifie que le traitement n’aura probablement pas beaucoup d’impact sur la vague actuelle d’Omicron.

Nous nous excusons, mais cette vidéo n’a pas pu se charger.

Le ministre fédéral de la Santé, Jean-Yves Duclos, a déclaré que le Canada avait déjà reçu son premier envoi de 30 000 traitements du médicament Pfizer, et 120 000 autres sont attendus jusqu’en mars.

La distribution aux provinces et aux territoires commencera immédiatement, la priorité étant accordée aux patients modérément à gravement immunodéprimés et qui ne se protègent pas suffisamment contre la COVID-19 avec des vaccins.

Cela comprend les personnes de plus de 80 ans dont les vaccins ne sont pas à jour et les personnes de 60 ans et plus vivant dans des communautés rurales ou mal desservies, y compris les Premières Nations, les Inuits et les Métis dont les vaccins ne sont pas à jour.

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