Les développeurs de DokeV expliquent leur collection de créatures sauvages en monde ouvert

Les développeurs de DokeV expliquent leur collection de créatures sauvages en monde ouvert

Imaginez un éventail de bandes-annonces de jeux vidéo, avec une « bande-annonce cinématographique insignifiante » à une extrémité et des « séquences de jeu explicites et longues » à l’autre. DokeV se situe fermement dans cette dernière catégorie, mais il s’avère non moins déroutant que quelqu’un essayant de comprendre de quoi parle le jeu.

Après une nouvelle bande-annonce de quatre minutes publiée pendant la Gamescom – sans structure, effets sonores ni explication d’aucune sorte – les développeurs Pearl Abyss ont gentiment suivi avec un commentaire de développeur qui explique ce que vous voyez dans la vidéo.

La vidéo explique d’abord ce que nous avons déjà : les dokebi sont des créatures du folklore coréen, un peu similaires aux yokai japonais. En tant que joueur de DokeV, vous collectionnez les Dokebi et travaillez avec eux au combat.

Il y a cependant beaucoup plus d’explications sur la structure du jeu que ce qui ressort du simple visionnage des images. D’une part, les Dokebi sont capturés via des quêtes spécifiques dispersées dans son monde ouvert, plutôt que d’être simplement trouvés dans les hautes herbes. Le jeu est également conçu avec l’accessibilité à l’esprit : les développeurs parlent de vouloir pouvoir jouer au jeu avec leurs propres enfants.

Cela se voit dans le combat, qui est conçu pour suivre « le style Pearl Abyss » – alias Black Desert Online – tout en étant plus accessible. J’adore l’apparence du combat, avec des effets de particules, des emballages sous vide de style Ghostbusters et des monstres qui semblent se transformer en une forme numérique. Ça me rappelle un peu Summer Wars.

Enfin, ils parlent des différents types de traversée dans le jeu. La bande-annonce montre des voitures miniatures, des planches à roulettes propulsées par des fusées, des lamas montables, des grappins du ciel, des jet-skis et des parapluies. Je veux tout faire.

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