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Les Canadiens s’inquiètent le plus de l’inflation.
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Que, selon une histoire récente de Journaliste de Blacklockqui cite une enquête qui montre que les personnes interrogées s’inquiètent davantage du coût de la vie que de la criminalité, du terrorisme ou du changement climatique.
L’inflation et les prix étaient la principale question économique préoccupante dans le rapport, selon Blacklock’s.
« Les gens n’étaient pas clairs et confus quant aux causes de l’inflation récente », ont écrit des chercheurs, Blacklock’s États.
« Certains ont souligné les perturbations de la chaîne d’approvisionnement liées à la pandémie, l’augmentation soudaine de la demande de produits à mesure que les restrictions ont été levées, l’augmentation des coûts pour les détaillants en raison de la modernisation liée au COVID et de la hausse des salaires, et trop d’argent injecté dans l’économie ».
Les résultats étaient basés sur 10 groupes de discussion et questionnaires avec 2 007 personnes dans tout le pays.
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Le rapport a été préparé par Environics Research; le dernier rapport économique disponible qui correspond à ce profil a été préparé par Environics en 2020, au début de la pandémie.
Les participants ont apparemment exprimé leur pessimisme et leur inquiétude au sujet de l’économie canadienne, en utilisant des mots tels que « pauvre », « instable », « volatile » et « difficile ».
« Seules quelques personnes ont utilisé des mots plus positifs ou neutres tels que » d’accord « », a déclaré le rapport, Recherche sur l’état de l’économie.
Étant donné que le Canada a une économie forte, un faible taux de chômage et l’un des taux d’inflation les plus bas au monde, cette utilisation du langage est mystérieuse.
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Selon le rapport, « Les participants ont systématiquement fait référence à la hausse des prix de l’épicerie et de l’essence et, dans de nombreux cas, ont également mentionné les factures de logement et de services publics. Il a été noté que les salaires n’ont pas suivi.
Et les chercheurs ont écrit : « Les participants ont exprimé leur pessimisme et leur inquiétude au sujet de l’économie canadienne.
Cependant, « peu de participants avaient des idées précises sur ce que le gouvernement fédéral pourrait faire pour lutter contre l’inflation. Certains ont suggéré de réduire les dépenses.
Lorsqu’on leur a demandé d’évaluer divers facteurs de stress dans leur vie, 73 % ont qualifié la hausse du coût de la vie de préoccupation importante.
Viennent ensuite la « qualité des soins de santé » (citée par 51 %), la pandémie (51 %), la criminalité (37 %) ou le terrorisme (31 %).
Au total, 45 % ont dit qu’ils s’inquiétaient du « retard supplémentaire de la classe moyenne » et se demandaient si les meilleures années du Canada étaient derrière cela.