Les augmentations de salaire obtenues par les grévistes ne doivent pas être considérées comme un « gros chat » selon des experts

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TORONTO — Les experts du travail affirment que l’accord sur les augmentations salariales obtenu par le plus grand syndicat du secteur public fédéral du pays le 1er mai est loin des gains considérables que certains pourraient percevoir comme tels.

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Les experts affirment que l’augmentation de salaire de 12,6 % au cours des quatre prochaines années aligne davantage les salaires de 120 000 grévistes représentés par l’Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC) sur l’inflation, qui a culminé à 8,1 % en juin avant de chuter à 4,3 %. % en mars.

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L’accord offre aussi peu qu’une augmentation de 1,5 % sur une année et jusqu’à 4,75 % sur une autre, mais un économiste et directeur du Center for Future Work affirme qu’il ne devrait pas être considéré comme « plaqué or » ni « gras ». chat. »

Jim Stanford est du même avis parce que les salaires moyens augmentent de plus de 5 % par année au Canada.

Charles Smith, professeur d’études politiques à l’Université de la Saskatchewan, a souligné que l’offre est également inférieure aux 13,5 % initialement demandés par le syndicat, mais supérieure aux 9 % que le gouvernement fédéral offrait autrefois.

L’entente du syndicat n’a pas encore été ratifiée et ne s’applique pas aux 35 000 employés de l’Agence du revenu du Canada, qui sont toujours en grève puisqu’une entente distincte est négociée pour eux.

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