samedi, novembre 9, 2024

Les Acharniens [and] les nuages [and] Description du résumé et du guide d’étude de Lysistrata

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Cette collection de trois pièces du dramaturge grec classique Aristophane fait la satire de divers aspects de la société et de la culture d’Athènes plusieurs siècles avant la naissance du Christ. Le premier et le troisième (« Les Acharniens » et « Lysistrata ») se concentrent sur le besoin de la ville, mais la résistance à, une paix durable avec ses ennemis. Le second, « Les Nuages », se concentre sur le nouveau (à l’époque) style d’apprentissage et de philosophie tel qu’enseigné par le célèbre Socrate. Tout au long des trois pièces, il y a des courants sous-jacents de sexualité explicite ainsi que des explorations thématiques de la folie de s’accrocher trop étroitement aux voies traditionnelles et de la façon dont les démunis trouvent le pouvoir.

La première pièce de la collection, « Les Acharniens », commence par un long monologue du citoyen athénien Dikaiopolis, qui exprime sa frustration face au long processus d’essayer de construire la paix entre Athènes et ses divers ennemis, un processus qui (comme le récit révèle plus tard), est très corrompu. L’aide d’une soi-disant divinité mineure, Amphitheus, confère à Dikaiopolis une paix personnelle, qu’il tente de transmettre aux Acharniens belliqueux, en colère contre Dikaiopolis pour être intervenu dans des confrontations en cours avec Sparte. Dikiaopolis sollicite l’aide du célèbre dramaturge Euripide et s’efforce de convaincre les Acharniens que la paix est dans leur meilleur intérêt. Dans le cadre de son argumentation, il démontre le potentiel de croissance économique en temps de paix en créant un marché et en faisant des affaires fructueuses avec une paire de marchands. Après avoir conclu ses transactions, Dikaiopolis célèbre son succès avec un banquet préparé par lui-même, mettant à la fois en colère et en se moquant de son voisin guerrier, Lamaque. Dans le même temps, cependant, Dikaiopolis refuse de partager son secret pour la paix avec les autres, finissant par devenir ivre de paix mais toujours salué par les Acharniens désormais pacifiques comme un héros.

Dans « Les Nuages », la deuxième pièce de la collection, le rusé Strepsiade tente d’enrôler son fils Pheidippide dans les voies du soi-disant Nouvel Apprentissage, tel qu’enseigné par le controversé mais néanmoins respecté Socrate, afin qu’il (Strepsiade) puisse manœuvrer pour échapper à ses lourdes dettes. Pheidippide refuse catégoriquement, alors Strepsiade se rend chez Socrate lui-même, et est surpris de constater que Socrate et son érudition sont tous deux inspirés non par les dieux traditionnels, mais par les Nuées, dont Socrate invoque la présence et qui descendent sur terre pour enseigner Strepsiade. Strepsiade, généralement stupide, comprend mal et applique mal les enseignements de Socrate et des Nuages, mais ne comprend pas ce qui s’est passé jusqu’à ce que Pheidippide, qui est finalement allé étudier avec Socrate, lui révèle le côté négatif des techniques d’argumentation philosophique de Socrate. Poussé à une colère extrême par l’attitude de Pheidippide, Strepsiade met le feu à la maison de Socrate. Les Nuages ​​retournent au ciel, parlant de la façon dont leur travail est fait.

La dernière pièce de la collection est « Lysistrata », dans laquelle les femmes de Grèce s’unissent derrière le leadership énergique d’une femme athénienne, Lysistrata, dans un effort désespéré pour ramener la paix dans leur pays. Plus précisément, elles décident de refuser les relations sexuelles à leurs hommes jusqu’à ce qu’elles refusent de faire la guerre à nouveau. Beaucoup de femmes sont initialement résistantes à l’idée, disant qu’elles aiment trop le sexe pour y renoncer. Lysistrata les convainc, cependant, et bientôt les hommes deviennent fâchés et frustrés, pour ne pas mentionner douloureusement engorgés, à la situation. Même si certaines femmes s’affaiblissent, et même si les hommes se révèlent à la fois manipulateurs et intelligents, le plan de Lysistrata finit par fonctionner. Des délégations d’Athènes et de Sparte, les principaux acteurs des guerres en cours en Grèce, négocient la paix en utilisant le corps nu de l’allié de Lysistrata, Réconciliation, pour déterminer qui va prendre le contrôle de quel territoire. La pièce se termine par une chanson et une danse dans lesquelles les femmes frappantes et leurs maris excités sont joyeusement réunis.

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