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Prenez une ville endormie (qui pourrait être n’importe où) avec ses classes supérieures, moyennes et pauvres, et donnez vie à l’histoire. Dans ce cas, tout commence avec un petit garçon orphelin élevé par un soldat fiévreux qui a combattu aux côtés du père du garçon. Le petit garçon est élevé pour être un soldat, pour vivre o
Prenez une ville endormie (qui pourrait être n’importe où) avec ses classes supérieures, moyennes et pauvres, et donnez vie à l’histoire. Dans ce cas, tout commence avec un petit garçon orphelin élevé par un soldat fiévreux qui a combattu aux côtés du père du garçon. Le petit garçon est élevé pour être soldat, pour vivre de pain moisi et de petits poissons impossibles. La vie du garçon, semble-t-il, manque de lumière.
Ajoutez une mystérieuse diseuse de bonne aventure, avec un message encore plus mystérieux, et les choses commencent à changer. Comment? D’une part, le garçon a maintenant de l’espoir. Oh, la force puissante qui insuffle la vie aux choses ennuyeuses. L’espoir, d’une certaine manière, est impossible. Également impossible à supporter, et impossible à éteindre. L’espoir, le principal moteur des personnages de DiCamillo que j’aime dans chacun de ses livres, est ce qui fait la différence entre le statu quo et l’inattendu.
Dans la même ville, vivent un policier et sa femme, sans enfant, ancrés dans leurs habitudes. Mais le policier espère aussi, en demandant à l’important : « Et si… ».
Et là vit une femme noble, une femme puissante qui veut se divertir lors d’un spectacle de magie. Le magicien vieillissant, qui a été la risée de la ville, s’apprête à accomplir le dernier acte de sa vie, lorsqu’il demande l’impossible : « Et si… ».
Et dans un orphelinat, non loin de là, une petite fille rêve de l’impossible, et son rêve la revisite encore et encore, jusqu’à ce qu’elle demande ; tandis qu’un tailleur de pierre fou rêve de faire une statue de plus, un mendiant chante les choses à venir (si seulement quelqu’un écoutait), et une autre femme noble tire les ficelles pour devenir le centre de la saison sociale mettant l’impossible en mouvement.
Dans L’éléphant du magicien, DiCamillo dresse un portrait saisissant des espoirs perdus, des rêves anéantis, des désirs impossibles et des conséquences de se perdre soi-même. Elle explore les pulsions et les désirs très humains, les classes sociales et le malheureux statu quo. Mais elle montre aussi que rien n’est gravé dans le marbre et que l’espoir, aussi ridicule soit-il, pousse les gens à faire des choses formidables et altruistes.
Encore un très bon livre d’un auteur très talentueux. Fortement recommandé à lire avec de jeunes lecteurs (excellents sujets de discussion) ou à lire seul lorsque vous vous lassez de tout ce qui est adulte et que vous souhaitez vous évader dans un monde merveilleux.
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