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Les taux d’emploi au Canada se rétablissent progressivement après la baisse de 2020, selon le dernier rapport Données de Statistique Canada.
En 2023, les taux d’emploi étaient de 62,7 pour cent, légèrement inférieurs au niveau de 62,9 pour cent de 2019.
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Les taux d’emploi les plus bas au cours de ces années concernaient les personnes sans diplôme, certificat ou diplôme. Les taux d’emploi de ce groupe ont atteint un minimum de 30,1 pour cent en 2020 et sont revenus à 32,4 pour cent en 2023.
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Les diplômés du secondaire ont également connu une baisse significative en 2020, tombant à 51,7 pour cent contre 55,8 pour cent en 2019. En 2023, les taux d’emploi ont connu une reprise plus modeste, à 53,9 pour cent.
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Ceux qui détiennent des certificats ou diplômes postsecondaires se sont montrés plus résilients, culminant à un taux d’emploi de 68,8 pour cent en 2019, avant de chuter à 63,9 pour cent en 2020 et de remonter à 65,9 pour cent l’année dernière.
Les titulaires d’un diplôme universitaire ont constamment affiché les taux d’emploi les plus élevés, commençant à 74,0 pour cent en 2019, puis diminuant légèrement en 2020 à 71,3 pour cent, avant de se redresser et de se stabiliser à 74,4 pour cent l’année dernière.
Ceux qui ont des diplômes supérieurs au niveau du baccalauréat ont montré une augmentation plus significative, passant de 73,9 pour cent en 2019 à 75,1 pour cent en 2023, montrant une corrélation claire entre le niveau d’éducation et les taux d’emploi.
Le taux de chômage au Canada a augmenté 0,1 pour cent en févrieratteignant 5,8 pour cent.
Cependant, toutes les études ne sont pas égales et une nouvelle analyse a mis en lumière les perspectives d’emploi dans différents domaines d’études aux États-Unis.
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Basée sur les données de la Réserve fédérale de New York et actuelles jusqu’en février 2024, l’analyse de Capitaliste visuel se concentre sur les spécialisations universitaires américaines et les taux de chômage et de sous-emploi parmi les récents diplômés.
Les spécialisations liées aux arts, comme l’histoire de l’art, les arts libéraux et les beaux-arts, sont en tête de liste avec les taux de chômage les plus élevés, soit environ 8 % pour les jeunes diplômés.
Parmi les diplômés qui ont trouvé du travail, plus de 50 pour cent sont confrontés au sous-emploi, avec des emplois qui n’utilisent pas pleinement leurs compétences ou sont à temps partiel.
Étonnamment, les majors en génie aérospatial ont un taux de chômage de 7,8 pour cent, malgré la stabilité typique associée aux domaines de l’ingénierie.
Cela peut être dû à la concentration de l’industrie autour de quelques grandes entreprises et à l’exigence d’habilitations de sécurité. Ceux qui ont trouvé un emploi dans ce domaine s’en sont toutefois bien sortis, avec environ 18 pour cent d’entre eux considérés comme au chômage.
De même, plus de six pour cent des étudiants en physique sont au chômage et plus de 31 pour cent sont sous-employés.
D’autres disciplines, telles que l’histoire, l’anglais et les médias de masse, figurent également en tête de liste, avec des taux de chômage avoisinant les 7 pour cent.
Le taux de chômage moyen dans toutes les disciplines est de 3,5 pour cent, avec un taux de sous-emploi moyen de 40,3 pour cent, ce qui met en évidence les défis plus larges auxquels les jeunes diplômés sont confrontés sur le marché du travail dans divers secteurs.
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