dimanche, novembre 24, 2024

L’échange de crypto Binance cherche des licences critiques aux Philippines, déclare le PDG

Changpeng Zhao, PDG de la plateforme de crypto-trading Binance, a partagé son intention d’acquérir deux licences essentielles pour les opérations de l’entreprise aux Philippines.

Lors d’un point de presse à Manille, le PDG de Binance mentionné que l’échange cherche à obtenir la licence de fournisseur de services d’actifs virtuels (VASP), qui permet à la plate-forme de faciliter légalement l’échange d’actifs numériques et la conversion de crypto en peso philippin.

Outre le VASP, Zhao a également noté que la plate-forme de négociation travaille à l’acquisition d’une licence d’émetteur de monnaie électronique auprès de Banko Sentral ng Pilipinas, la banque centrale du pays. Cette licence permettra à Binance d’émettre de la monnaie électronique.

Le PDG de Binance a parlé de plans visant à étendre les opérations du pays à l’intérieur du pays. Selon Zhao, la société envisage de former des partenariats et d’investir dans des banques opérant aux Philippines. Il a dit:

« Nous sommes intéressés à investir dans les centres de services financiers traditionnels, y compris les prestataires de services de paiement, les banques […] nous voulons aider à amener ces entreprises dans le monde de la blockchain. »

Zhao a souligné que la décision de la bourse d’élargir sa présence dans le pays est due aux développements locaux en termes de services de paiement et à la « compréhension de la cryptographie » avancée du pays.

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Zhao a également fait part de ses frustrations face au récent rapport de Reuters sur l’échange. Il a déclaré que le média « se contentait de rapporter des rumeurs et qu’il n’avait fourni aucune preuve à l’appui ». Il a également exhorté le public à ne pas croire les rumeurs et leur a assuré que l’entreprise n’était pas impliquée dans des activités illicites.

Il y a deux jours, la bourse a publié un article de blog pour répondre aux allégations de Reuters. Dans le message, l’échange a riposté à la plateforme d’information, affirmant que l’article avait été créé pour répandre la désinformation.