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Le vin dans la nature (1969), d’Alice Childress, a été jouée pour la première fois sur WGBH-TV à Boston, Massachusetts, dans le cadre de la série « On Being Black ».
Le vin dans la nature L’action se déroule pendant une émeute raciale à Harlem, à New York. Bill Jameson, un artiste, travaille sur un « triptyque » intitulé « Wine in the Wilderness ». Cette série de trois tableaux est destinée à exprimer la « déclaration » de Bill sur la « féminité noire ». Le premier tableau, d’une jeune fille noire, est censé représenter l’innocence de l’enfance. Le tableau du milieu est celui d’une belle femme afro-américaine vêtue d’un costume africain, censé représenter la femme noire idéale de Bill, qu’il qualifie de « reine africaine » ou de « vin dans la nature ». Pour le troisième tableau, qu’il n’a pas encore commencé, Bill recherche une femme démunie pour servir de modèle à son image de « ce que la société a fait de nos femmes ».
Les amis de Bill lui présentent Tommy, une femme qu’ils ont rencontrée dans un bar, et qui, selon eux, représente le type de femme « désespérée » qu’il a en tête pour son troisième tableau. Tommy, cependant, découvre la véritable intention de Bill de la peindre comme représentante d’une femme « ignorante, peu féminine, grossière, grossière, vulgaire, pauvre » et « stupide ». Elle critique avec colère Bill et ses amis pour penser qu’ils sont meilleurs qu’elle et pour mépriser les « masses » de la communauté afro-américaine qui sont moins éduquées et moins privilégiées qu’eux. Bill se rend compte que Tommy elle-même est sa véritable « reine africaine », une femme comme beaucoup dans sa communauté. Il convainc Tommy de rester pour pouvoir peindre son portrait comme sa nouvelle vision de la féminité afro-américaine, le « vin dans le désert ».
Dans cette pièce, Childress aborde le thème de la perception des femmes afro-américaines au sein de la communauté afro-américaine. Bill et ses amis estiment que les femmes afro-américaines ont dominé les hommes afro-américains dans le passé et devraient apprendre à être plus soumises aux hommes de leur vie. Tommy, de son côté, soutient que les femmes comme elle, fortes, énergiques et pourtant vulnérables, ne devraient pas être critiquées mais devraient être accueillies et célébrées par les hommes afro-américains et par la communauté dans son ensemble.
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