Les parents ont limité leurs propres activités ainsi que celles des frères et sœurs des patients chroniques afin d’éviter tout contact avec le virus. Cela signifie que certains enfants ne sont pas allés à la garderie ou au camp depuis le début de la pandémie.
«Les parents dont les enfants ont des maladies chroniques ont cette couche supplémentaire d’inquiétude que le fait d’avoir le COVID, même s’il est léger, déséquilibrerait leur état. Cela a eu un impact sur ces enfants fragiles, donc pour eux, pouvoir revenir à une sorte de normalité avec une assurance supplémentaire est excellent.
En plus de compliquer potentiellement leurs conditions, lorsque ces enfants sont testés positifs pour le COVID, cela peut interrompre leurs interventions, chirurgies ou scanners réguliers.
Kakkar a déclaré que pour la population générale, elle laisserait aux parents le soin de prendre la décision concernant le vaccin pour leurs enfants. Étant donné que le vaccin a été testé pendant la vague Omicron, il est difficile de dire dans quelle mesure il sera efficace pour prévenir l’infection contre les mutations les plus récentes, a-t-elle déclaré.
« Pour les enfants, il n’y aura pas de forte pression pour se faire vacciner », a-t-elle déclaré. «Si les parents sont très inquiets de transmettre aux grands-parents âgés, cela peut être un avantage. Certaines personnes ne veulent prendre aucun risque avec le COVID, alors même si la majorité des enfants se portent bien, un groupe défini d’enfants en bonne santé contracte un COVID sévère ou le syndrome inflammatoire post-COVID. En tant que médecin spécialiste des maladies infectieuses, chaque fois que j’ai une chance d’obtenir un vaccin contre une maladie grave, je le recommande, mais dans ce cas, je soutiendrais l’une ou l’autre décision.