lundi, janvier 20, 2025

Le trône de diamant (The Elenium, #1) de David Eddings

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« Tu ferais mieux de te préparer à monter, Sparhawk. »

Rencontrez Sparhawk: Pandion Knight et Queen’s Champion. S’il s’agissait de D&D, sa classe de personnage serait probablement Paladin; il peut lancer des sorts, mais préfère surtout couper les têtes avec son épée large considérable.

Sparhawk est un peu un dur à cuire. Son cheval aussi, Faran.

C’est le champion de la reine. Ne vous mettez jamais sur son chemin.

J’ai assez dévoré ce roman en peu de temps. Sparhawk a une approche de tolérance zéro vis-à-vis de la BS qui est immensément rafraîchissante et agréable.

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« Tu ferais mieux de te préparer à monter, Sparhawk. »

Rencontrez Sparhawk: Pandion Knight et Queen’s Champion. S’il s’agissait de D&D, sa classe de personnage serait probablement Paladin; il peut lancer des sorts, mais préfère surtout couper les têtes avec son épée large considérable.

Sparhawk est un peu un dur à cuire. Son cheval aussi, Faran.

C’est le champion de la reine. Ne vous mettez jamais sur son chemin.

J’ai assez dévoré ce roman en peu de temps. Sparhawk a une approche de tolérance zéro vis-à-vis de la BS qui est immensément rafraîchissante et agréable.

Le trône de diamant est un conte sans fioritures. Le style d’écriture présenté ici est parfois un peu artisanal et sans fioritures littéraires, mais il semble plutôt bien convenir à l’histoire (et surtout au protagoniste).

« Ça va être dangereux. »

Et c’est ainsi que notre héros se lance dans une quête pour sauver le royaume, accompagné de quelques compagnons.

Ah, la recette éprouvée d’une histoire fantastique. Heureusement, il est difficilement possible de faire un gâchis d’un livre quand il a un protagoniste si attachant. Eddings semble avoir trouvé l’or avec Sparhawk, parce que j’étais prêt à pardonner toutes sortes de fautes.

C’est une histoire à l’ancienne qui (à mon avis) penche légèrement plus vers l’heroic fantasy de Gemmell que vers le high fantasy de Tolkien, et pourtant elle se situe toujours quelque part entre les deux. je n’ai pas lu La Belgariade encore, donc je suis incapable d’établir une comparaison. Eddings, semble-t-il, était une propriété assez populaire dans les années 1980, aux côtés de gens comme Raymond E. Feist. Ne vous attendez pas à des dragons ou des elfes.

« Qu’est-ce que tu prévois, Sparhawk ? »
‘Châtiment.’

L’un des principaux arguments de vente de cette histoire est le dialogue. C’est plutôt bon, quoi. En fait, c’est absolument délicieux le plus souvent.

Les plaisanteries entre les personnages, et en particulier les chevaliers des différents ordres, sont habilement traitées. Il est remarquable que, malgré tout l’humour de ce roman, il ne s’abaisse jamais à la bêtise ou à la parodie.

« Cela devrait être presque comme une râpe à fromage lorsque nous commençons à les broyer contre vos murs. »
« Et je peux aussi y déposer des choses intéressantes depuis mes remparts. Des flèches, de gros rochers, de la poix brûlante – ce genre de choses.
« Nous allons nous entendre à merveille, monseigneur »

L’histoire m’a séduit par son charme simple. Ce n’est pas aussi compliqué et réaliste que la fantaisie moderne, mais il a un peu de saleté sous les ongles.
Il y a quelques tendances religieuses et philosophiques, mais pour la plupart, elles servent à souligner des éléments de l’histoire.

« Est-ce qu’il vous a déjà mordu ? »
‘Une fois que. Ensuite, je lui ai expliqué que je préférerais qu’il ne le fasse plus.
« Expliqué ? »
« J’ai utilisé un bâton solide. Il a eu l’idée presque immédiatement.

Bref : c’est une aventure fantastique qui devrait plaire à des lecteurs qui n’ont pas un bâton littéraire bien droit coincé quelque part.

Pour le mérite littéraire, l’intelligence et tout ce jazz : 3,5 étoiles
Pour une valeur de divertissement pure et pure : 4,5 étoiles

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