Le passage au travail hybride a rendu difficile pour les organisations de maintenir des lieux de travail sains
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Le travail à domicile ne convient peut-être pas à tout le monde. Un nombre record de plaintes pour intimidation ont fait l’objet de poursuites devant les tribunaux du travail du Royaume-Uni au cours de l’année écoulée, signe que si le travail à domicile est bien accueilli par beaucoup, il contribue également aux tensions pour les autres.
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Les tribunaux du travail, qui entendent les actions intentées contre les employeurs par les travailleurs, ont vu une augmentation de 44% des affaires comprenant des allégations d’intimidation, selon le cabinet d’avocats du travail Fox & Partners. Le nombre est passé à 835 poursuites au cours des 12 mois jusqu’à la fin mars, contre 581 au cours de la période précédente. Les employés ne peuvent pas poursuivre directement les employeurs pour intimidation, mais peuvent l’inclure dans les plaintes pour discrimination ou dénonciation.
Cette forte augmentation met en lumière les problèmes auxquels les entreprises peuvent être confrontées pour faire face à des comportements problématiques au bureau et en dehors. Les réclamations du tribunal du travail britannique pour licenciement abusif sont généralement plafonnées à un peu plus de 93 000 £ (111 110 USD) si vous avez été licencié après avril de cette année. Mais les dommages-intérêts sont illimités si la discrimination est prouvée.