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« Le Train de Rhodésie » est l’une des premières histoires de Nadine Gordimer, publiée pour la première fois en 1952 dans sa collection La douce voix du serpent et autres contes. La courte pièce sur le bref arrêt d’un train dans un village africain pauvre montre la complexité concise qui caractérise une grande partie des autres œuvres de Gordimer. En tant que sud-africaine d’origine européenne, Gordimer a concentré une grande partie de ses écrits sur l’injustice de l’apartheid telle qu’elle est pratiquée dans le pays. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une histoire ouvertement politique, « Le train de la Rhodésie » dépeint les attitudes préjudiciables qui ont provoqué l’apartheid et l’ont renforcé une fois que la ségrégation raciale est devenue loi. Les critiques ont loué l’histoire pour son commentaire social inflexible mais subtil, une tactique qui a permis à Gordimer de la publier en Afrique du Sud sans qu’elle soit censurée. En présentant des personnages des deux races dégradés par leur croyance en l’inégalité raciale, l’auteur montre comment les Sud-Africains noirs et blancs sont lésés par l’apartheid. Alors que les lecteurs débattent des mérites de son style détaché et sans émotion, beaucoup se retrouvent contraints par sa passion. L’histoire a été publiée dans plusieurs collections de Gordimer ainsi que dans d’autres anthologies générales de nouvelles.
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