Le taux national de postes vacants a atteint un record de 16,3 % au premier trimestre
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Les propriétaires canadiens qui s’attendaient à ce que les travailleurs retournent dans les bureaux libérés pendant la pandémie ont reçu un coup dur, car une poussée de la variante Omicron au début de l’année a incité davantage d’entreprises à renoncer aux baux.
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Le taux national d’inoccupation des bureaux a atteint un record de 16,3 % au premier trimestre, selon un rapport publié mercredi par la société de courtage immobilier commercial CBRE. La tendance s’est reflétée à Toronto, la plus grande ville et capitale financière du Canada, où le taux d’inoccupation a atteint 14,8 %.
Le début de l’année a vu une grande partie du Canada frappée par la variante Omicron hautement infectieuse de COVID-19, provoquant une nouvelle série de confinements et de restrictions dans de nombreuses régions du pays. Avec le nouveau retard de retour dans les bureaux, de nombreuses entreprises ont travaillé à distance pendant la majeure partie des deux dernières années. Cela semble avoir encouragé davantage de locataires à quitter entièrement leurs espaces.
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Au cours des trois premiers mois de l’année, près de 2 millions de pieds carrés (186 000 mètres carrés) de bureaux deviennent vacants dans tout le pays, selon le rapport. Pendant ce temps, l’achèvement de nouveaux bâtiments a apporté près de 700 000 pieds carrés d’espace sur le marché, avec près de 15 millions de pieds carrés encore en construction.