samedi, novembre 30, 2024

Le tatoueur d’Auschwitz par Heather Morris

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En avril 1942, Lale Sokolov, un juif slovaque, est transporté de force dans les camps de concentration d’Auschwitz-Birkenau. Lorsque ses ravisseurs découvrent qu’il parle plusieurs langues, il est mis au travail comme Tätowierer (le mot allemand pour tatoueur), chargé de marquer de façon permanente ses codétenus.

Emprisonné pendant plus de deux ans et demi, Lale assiste à un horrible atro

En avril 1942, Lale Sokolov, un juif slovaque, est transporté de force dans les camps de concentration d’Auschwitz-Birkenau. Lorsque ses ravisseurs découvrent qu’il parle plusieurs langues, il est mis au travail comme Tätowierer (le mot allemand pour tatoueur), chargé de marquer de façon permanente ses codétenus.

Emprisonné pendant plus de deux ans et demi, Lale est témoin d’atrocités horribles et de barbarie, mais aussi d’incroyables actes de bravoure et de compassion. Au péril de sa vie, il utilise sa position privilégiée pour échanger des bijoux et de l’argent de Juifs assassinés contre de la nourriture afin de maintenir en vie ses codétenus.

Un jour de juillet 1942, Lale, prisonnière 32407, réconforte une jeune femme tremblante qui fait la queue pour se faire tatouer le numéro 34902 sur le bras. Son nom est Gita, et lors de cette première rencontre, Lale jure de survivre au camp et de l’épouser.

Une recréation vivante, déchirante et finalement pleine d’espoir des expériences de Lale Sokolov en tant qu’homme qui a tatoué les bras de milliers de prisonniers avec ce qui allait devenir l’un des symboles les plus puissants de l’Holocauste, Le tatoueur d’Auschwitz est aussi un témoignage de l’endurance de l’amour et de l’humanité dans les conditions les plus sombres possibles.

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