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La version de ce poème utilisée pour créer ce guide apparaît dans : Donne, John. La poésie de John Donne. Éd. Donald Dickson (Norton, 2007).
Notez que les citations entre parenthèses dans le guide font référence au numéro de ligne à partir duquel la citation est tirée.
John Donne est peut-être le poète métaphysique le plus connu du début de l’ère moderne. La poésie métaphysique se caractérise par son recours à l’intellectualisme, à la métaphore étendue et au paradoxe, utilisant souvent un langage et des images contradictoires pour argumenter en faveur de quelque chose. Donne, qui a étudié à Inns of Court pour devenir avocat, était familier avec l’argumentation logique et la manipulation linguistique, qui apparaissent toutes deux dans ses poèmes métaphysiques. Cependant, Donne est également devenu, plus tard dans sa vie, un prêtre anglican, occupant le poste de doyen de Saint-Paul jusqu’à sa mort en 1631. Une grande partie de sa poésie est donc axée sur la spiritualité et la relation de l’homme avec Dieu.
Les éléments de poésie métaphysique et dévotionnelle sont tous deux présents dans « The Sun Rising ». Bien qu’il ne soit pas l’un des poèmes les plus canonisés de Donne, « The Sun Rising » emploie bon nombre des mêmes techniques que celles qu’il utilise dans son œuvre la plus célèbre. Dans le poème, un orateur anonyme réprimande le soleil du matin, lui demandant de le laisser seul, lui et sa bien-aimée, afin qu’ils puissent rester au lit pour la journée. Il dénigre l’éclat du soleil par rapport à celui de sa bien-aimée avant de noter que, puisque son amour englobe l’éternité, le soleil peut réchauffer le monde entier en éclairant uniquement lui et sa bien-aimée.
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