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Pour en dire peu (si l’on peut en croire le livre), Salvatore « Turi » Guilliano était un rebelle sicilien qui s’est fait connaître au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Son chemin vers la rébellion a commencé lorsqu’il a été abattu par la police locale pour contrebande de fromage. Survivant aux blessures par balle, il s’est engagé sur la voie de la libération de la Sicile de l’injustice et de la libération des pauvres et des faibles de l’oppression et de la pauvreté.
Puzo va à beaucoup de détails pour donner vie au personnage de Guilliano. C’est un romantique, et l’idée d’héroïsme lui plaît beaucoup. Il traite ses ennemis avec rapidité et avec justice avec les prisonniers. Il refuse de plier le genou devant la mafia, sachant à quel point leur notion d’équité est hypocrite. Il partage la moitié des gains du banditisme avec le peuple. Les gens du commun l’aiment ; pour eux, il est le symbole de la force, de l’équité et de la justice.
Il est juste de dire que l’auteur a beaucoup romancé Guilliano, mais ce n’est pas vraiment un crime. Puzo nous présente un personnage plus grand que nature de telle manière que nous pouvons le comprendre, on pourrait dire le toucher. Sa personnalité est le mélange parfait de gentil, sévère, courageux, intelligent et intelligent. Un peu trop parfait. Non pas que je dis qu’un personnage comme ça ne pourrait pas exister. C’est seulement que, vivant dans un monde où cette combinaison parfaite est inconnue, cela vous fait en quelque sorte remettre en question la crédibilité du livre.
Mais je suppose que cela peut pardonner, étant donné qu’il s’agit d’un romantisme de la légende de Guilliano et que c’est un très bon livre. D’autres fois, nous trouvons l’auteur nous donnant le scoop de l’esprit de quelqu’un. Et comme il s’agit d’une histoire, après tout, et si divertissante, elle peut être facilement acceptée.
Bien que Guilliano écoutait son bon jugement et son cœur, le livre nous laisse deux leçons puissantes dans la correction différente. « Le devoir d’un homme est de sa vie avant l’honneur », et « l’héroïsme et la folie sont les deux faces d’une même pièce ». (Aucun d’entre eux n’est des citations directes, mais plutôt mon interprétation.) Aussi déprimantes qu’elles puissent être, elles sonnent de tristes vérités.
Le livre nous donne envie de connaître Guilliano. Je suis tenté de faire des recherches sur la personne, donc je dirais que c’est une réussite de la part du livre. Guilliano est très inspirant et rejoint la liste des héros rebelles.
PS Wikipedia a un compte différent, donc je suppose que c’est, après tout, de la fiction.
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