Le Sénat a validé de manière bipartisane les nominations de Daniel Driscoll au poste de secrétaire de l’Armée et de Jamieson Greer en tant que principal négociateur commercial de Trump. Driscoll, soutenu par 16 sénateurs démocrates, a promis de prioriser les besoins des soldats, tandis que Greer a été approuvé par tous les républicains, sauf Rand Paul, et est reconnu pour sa préparation et son engagement à collaborer avec le Congrès, contrastant avec l’administration précédente.
Confirmation Bipartisane des Nominations de Trump
Le Sénat a récemment approuvé de manière bipartisane deux nominations importantes du président Donald Trump, marquant un moment significatif dans le processus de confirmation. Les sénateurs ont voté 66 contre 28 pour la nomination de Daniel Driscoll en tant que secrétaire de l’Armée, suivie par l’approbation de Jamieson Greer comme principal négociateur commercial du président, qui a reçu un vote de 56 contre 43. Avec cette confirmation, Greer devient le 19ème membre du cabinet de Trump à obtenir le feu vert du Sénat.
Engagement de Driscoll et Soutien à Greer
Driscoll a bénéficié d’un soutien bipartisan, avec 16 sénateurs démocrates se joignant aux républicains pour soutenir sa nomination. Lors de son audience de confirmation, il a souligné son engagement envers les soldats américains et a promis de se concentrer sur les défis de recrutement et de rétention au sein de l’Armée. « Si je suis confirmé, les soldats américains seront ma mission, » a déclaré Driscoll, mettant en avant l’importance de la qualité de vie des troupes et de leurs familles.
Quant à Jamieson Greer, il a reçu le soutien de tous les sénateurs républicains, à l’exception de Rand Paul, qui a exprimé des réserves concernant certaines politiques commerciales. Greer, qui a servi comme chef de cabinet pour l’ancien représentant commercial américain Robert Lighthizer, est décrit par le leader de la majorité au Sénat, John Thune, comme étant « très bien préparé pour ce rôle. » Thune a également salué l’engagement de Greer envers la communication et la collaboration avec le Congrès, en contraste avec la précédente administration Biden qui n’a pas négocié d’accords de libre-échange durant son mandat.