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Le lit à baldaquin, la pièce la plus réussie de Jan de Hartog, a été créée pour la première fois au Ethel Barrymore Theatre en 1951; il a duré 632 représentations à Broadway. La pièce a valu à de Hartog le prix Antoinette Perry (Tony) de 1952. Le lit à baldaquin a été adapté à l’écran dans un film de 1952 produit par Columbia Pictures. Une interprétation musicale intitulée Je fais! Je fais! ouvert à Broadway en 1966.
Le lit à baldaquin met en scène deux personnages, Agnes et Michael, et couvre les années 1890 à 1925, alors que les moments clés de leur mariage se jouent autour de leur lit à baldaquin. Dans l’acte 1, scène 1, ils viennent de rentrer de leur cérémonie de mariage, anxieux et nerveux à l’idée de consommer leur mariage. Dans la scène 2, Agnès commence à ressentir les douleurs de l’accouchement de leur premier enfant. Dans l’acte 2, scène 1, Michael, devenu un écrivain à succès, révèle à Agnès qu’il a eu une liaison. Dans la scène 2, Michael vient de découvrir ce qu’il pense être une bouteille d’alcool dans la chambre de leur fils. Dans l’acte 3, scène 1, ils viennent de rentrer du mariage de leur fille. Dans la scène 2, ils quittent leur maison pour vivre dans un appartement plus petit.
La pièce de De Hartog retrace les hauts et les bas d’un mariage de longue durée ponctué de moments de crise et de réconciliation. Elle maintient un équilibre de perspective entre les préoccupations et plaintes particulières de la femme et celles de l’homme, en fonction de leurs rôles sociétaux traditionnels. Le lit « à baldaquin », dans et autour duquel se jouent ces moments de crise, symbolise la pérennité du lien conjugal, qui reste stable tout au long de plusieurs décennies d’amour et de conflits.
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