Le résumé du tigre blanc et la description du guide d’étude


Le roman commence alors que Balram commence une lettre à un politicien chinois sur le point de visiter l’Inde. Dans la lettre, écrite depuis un appartement à Bangalore éclairé par un grand lustre (et quelque peu inattendu), Balram se décrit comme l’entrepreneur le plus prospère de l’Inde et commence à raconter comment il en est arrivé là. Au fur et à mesure que le roman continue, la narration revient dans ce cadre, encadrant l’histoire de Balram de son passé avec de brèves références à son présent réussi.

Balram commence le voyage dans son passé en décrivant sa jeunesse dans le village de Laxmangarh, une petite communauté envahie par la pauvreté. Sa famille est dominée par une grand-mère énergique, nourrie grâce aux revenus générés par un père travailleur (mais mal payé), et piégée dans son mode de vie par le système des castes séculaire de l’Inde, qui définit les individus par les emplois. fait par les anciens ancêtres. Très tôt, cependant, Balram en vient à réaliser et/ou à croire que la vie à laquelle il semble être destiné n’est pas la vie qu’il veut et/ou a besoin de vivre, et lentement, prudemment, commence à se frayer un chemin vers une plus grande richesse et succès. Il ne sait pas vraiment comment il va y arriver : il sait seulement qu’il doit le faire et espère que la voie à suivre lui sera finalement révélée.

De Laxmangarh, Balram passe à Dhanbad, où il parvient à obtenir une formation de chauffeur, puis un emploi de chauffeur adjoint dans une riche famille d’hommes d’affaires industriels dirigée par un homme appelé uniquement The Stork. Les deux fils de la cigogne sont des hommes très différents : l’aîné, Mukesh Sir, est intelligent, autoritaire et simple ; le plus jeune, M. Ashok, est moins intelligent, plus doux et physiquement très attirant. M. Ashok est marié à la tout aussi séduisante Pinky Madam. Au fur et à mesure que son temps avec la famille s’allonge et par une action délibérée et soigneusement calculée, Balram se rend indispensable, se faisant finalement chauffeur en chef et accompagnant M. Ashok et Pinky Madam lors de leur déménagement à Delhi.

Balram observe, écoute et apprend à mesure que M. Ashok et Mukesh Sir s’impliquent de plus en plus dans les manipulations financières et sociales des systèmes commerciaux et politiques entrelacés à Delhi; observe et absorbe pendant que M. Ashok lutte pour garder son mariage ensemble; et se retrouve pris dans le piège d’un serviteur indien typique lorsque les circonstances l’obligent à assumer la responsabilité d’un crime qu’il n’a pas commis. Les conséquences de ses actes dans cette affaire ne se produisent pas : il évite la prison, mais sa vie est quand même perturbée lorsque Pinky Madam, qui a longtemps été frustrée par son mari, rentre chez elle en Amérique.

Cela envoie M. Ashok dans une spirale émotionnelle, ce qui le rend de plus en plus dépendant de Balram qui, à son tour, devient de plus en plus rancunier. Ce ressentiment grandit et s’intensifie jusqu’à ce que Balram soit poussé à tuer M. Ashok, à voler une grosse somme d’argent destinée à être utilisée comme pot-de-vin pour des politiciens corrompus et à quitter la ville.

Balram finit par se retrouver à Bangalore, où il crée une entreprise pour lui-même (en utilisant l’argent volé à M. Ashok comme capital d’amorçage) et, enfin, devient l’homme d’affaires prospère, indépendant et riche qu’il a toujours rêvé d’être. Il est hanté par un sentiment de culpabilité tranquille, mais se présente comme finalement sans remords pour ce qu’il a fait : il conclut son histoire par une célébration, dans la narration, du fait qu’il a été, ne serait-ce que pour une courte période de temps, serviteur de personne.



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