mardi, décembre 24, 2024

Le résumé des hommes creux et la description du guide d’étude

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La version suivante de ce poème apparaît dans : Eliot, TS Poèmes complets et pièces de théâtre. Faber & Faber, 2004.

Notez que toutes les citations entre parenthèses font référence au numéro de ligne à partir duquel la citation est tirée.

« The Hollow Men » est un poème en cinq sections écrit par le poète moderniste TS Eliot, initialement publié en 1925 dans Eliot’s Poèmes : 1909-1925. Le fait que quatre des cinq sections aient déjà été imprimées suggère qu’Eliot a combiné des fragments d’œuvres précédentes dans le cadre de la composition de « The Hollow Men ». De plus, l’ouvrage contient des allusions à une série d’œuvres littéraires européennes et de mythes culturels, dont le poète du XIVe siècle Dante Alighieri Comédie divinepièce historique de William Shakespeare Jules César, les romans du tournant du siècle de Joseph Conrad et la célébration anglaise du Guy Fawkes Day. Le résultat est une œuvre polyphonique de thèmes qui se chevauchent qui résiste à une interprétation singulière et a produit une gamme de significations.

Un orateur anonyme raconte le poème, se déplaçant entre la première personne du pluriel et du singulier – « Nous » et « Je » – tout au long du poème. Il se décrit comme faisant partie d’un groupe d’effigies à moitié vivantes résidant dans un terrain vague à la nature ambiguë : c’est un espace un peu comme les limbes ou le purgatoire, un élément de l’au-delà catholique réservé à ceux qui n’étaient ni mauvais ni bons sur terre. Le décor est cependant instable : c’est tantôt un désert, tantôt une cave vide, et aussi la plage d’une rivière. Mais la constante tout au long du poème est la présence de certains «yeux», fixant le jugement divin – que l’orateur évite en adoptant l’apparence d’un épouvantail. En même temps, les yeux sont la seule chose qui mettrait fin à ses souffrances, s’ils devaient réapparaître sous la forme d’une étoile qui ne se fane pas et d’une rose aux multiples pétales, toutes deux symboles du Ciel. Le poème se termine de manière pessimiste, voire nihiliste, contenant une danse circulaire autour d’un cactus et les lignes les plus citées d’Eliot qui postulent la fin du monde « Pas avec un bang mais avec un gémissement » (98).

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