Le résumé des dieux de pierre et la description du guide d’étude


La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Winterson, Jeanette. Les dieux de pierre. Premiers livres de marin, 2009.

The Stone Gods se déroule dans un passé lointain (qui est plus futuriste que notre propre temps), des temps primitifs et un futur pas si lointain. Le roman est raconté par Billie dans « Planet Blue », « Post-3 War » et « Wreck City » et raconté par Billy Crusoe dans « Easter Island ». Les lecteurs apprennent que tous les protagonistes sont essentiellement la même personne qui renaît dans de nouveaux contextes et circonstances. C’est l’histoire d’une âme à travers le temps, faisant les mêmes erreurs et aimant les mêmes personnes, et faisant des choix moraux en cours de route.

La section 1 du roman se concentre sur le temps passé par Billie sur Orbus, une planète dystopique et futuriste qui existait bien avant la nôtre. Billie est contre-culturelle; elle ne croit pas à la «fixation génétique», qui arrête le processus de vieillissement, elle pense que le gouvernement est corrompu et vit dans une ferme biologique alors que tout le monde vit parmi des robots. Elle est horrifiée par «l’analphabétisme de masse approuvé par l’État» et croit aux livres, à la vraie nourriture et à la vraie vie (13). Sa résistance au programme de son régime ne passe pas inaperçue et elle apprend bientôt que le gouvernement la traque et planifie sa chute. En même temps, elle tombe amoureuse de Spike, un robot créé par le gouvernement.

La section 2 du roman est centrée sur la romance de Billie et sa décision éventuelle de mourir avec Spike, un robot avec qui elle a trouvé le véritable amour, malgré ses réserves initiales. Les deux se rendent sur la planète bleue, dans l’intention de tuer les dinosaures et de la coloniser afin que les gens d’Orbus puissent s’y rendre – Orbus a été pollué jusqu’à la mort par les humains qui y vivent. Dans une tentative ratée de tuer les dinosaures de la planète bleue, les colonisateurs d’Orbus déclenchent accidentellement une ère glaciaire. Billie décide de rester sur Planet Blue avec Spike, sachant qu’elle choisit sa propre mort en le faisant.

La section 3 montre Billie et Spike s’abritant dans une grotte alors que le monde qui les entoure se termine. Ils discutent de leur mort imminente, chacun incapable d’y croire. « ‘La vie croit qu’elle ne finira jamais' » dit Spike, et quand Billie dit que cette croyance n’est que de l’auto-illusion, Spike répond, « ‘Ou peut-être la vérité. C’est un état, il y en aura un autre' » (89). En effet, la section suivante, « Easter Island », montre qu’il y en a en fait une autre, et Billie renaît sous le nom de Billy, un marin gay, et Spike renaît sous le nom de Spikkers, un gay européen. Ils sont tous les deux bloqués sur la même île et Spikkers meurt dans les bras de Billy dans une grotte, tout comme Spike est mort dans celle de Billy.

La section 4 commence par l’histoire de la troisième guerre mondiale, que Billie a vécue. MORE, une entreprise mondiale, a remplacé le gouvernement et Billie est chargée de s’occuper du premier Robo sapien, Spike. Winterson commence alors la partie « Wreck City » de son roman, qui présente la résistance au régime MORE comme « l’alternative » au statu quo. Lorsque Spike disparaît, Billie se lie d’amitié avec le barman de Wreck City et commence à chercher Spike avec lui.

La section 5 développe l’amitié entre Billie et Friday, montrant un respect mutuel entre eux malgré des parcours différents. Billie apprend que le gouvernement est après elle, l’accusant d’avoir volé le Robo sapien. Complètement désillusionnés par son régime, Billie et Spike se disent au revoir en larmes avant que Billie ne soit tuée par l’armée du MORE. Winterson montre l’âme de Billie rencontrant son âme sœur – fortement supposée être Spike – dans ce qui est soit leur prochaine vie, soit l’au-delà. La fin ambiguë transfère la responsabilité de l’interprétation et de la narration aux lecteurs, qui sont invités à se débattre avec le sens et la trajectoire de leur propre vie.



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