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Le poème de Linda Pastan ??Les Cosaques ?? apparaît dans sa collection de 2002 intitulée Le dernier oncle. Bien que Pastan soit généralement associée à la poésie liée à la domesticité et à l’expérience personnelle, sa poésie ultérieure aborde souvent les thèmes du vieillissement, de la mortalité et de la réalité de la mort. ??Les Cosaques ?? contient ces thèmes, mais le poème est quelque peu inhabituel dans son travail car il est présenté comme un poème sur son héritage juif. Dans le poème, elle exprime ce qu’elle décrit comme un aspect de la pensée juive. Elle décrit la tendance à se concentrer sur le négatif ou à supposer que le pire est à venir, admettant une peur et un pessimisme profond dans sa propre pensée. En revanche, sa mère et F. (à qui le poème est dédié) gèrent les crises avec sérénité. Pastan aborde le thème des masques sociaux pour expliquer la différence entre les deux personnages confrontés à leur propre mortalité ; sa mère faisait semblant d’être calme, mais F. était vraiment calme. En fin de compte, l’orateur aspire à ce dernier, mais sa propre nature y résiste.
Historiquement, les Cosaques auxquels Pastan fait référence étaient des groupes de mercenaires qui vivaient le long de la frontière russe. Les cosaques sont apparus pour la première fois en tant que peuple au XVe siècle, sous la forme de communautés peu organisées mais apparentées. Au XVIe siècle, ces groupes s’étaient regroupés en deux grands groupes, l’un en Ukraine et l’autre sur le fleuve Don bordant le Grand-Duché de Moscou. À la fin du XIXe siècle, les hommes cosaques qui servaient le tsar étaient devenus actifs dans la répression de la rébellion et le massacre des Juifs. En raison de leur violence et de leur agressivité envers les Juifs, Pastan les utilise comme figures d’hostilité et de danger dans « Les Cosaques ». Le poème s’ouvre sur la déclaration qu’ils viennent toujours, et il se termine par le bruit des chevaux qui s’approchent, que le lecteur peut imaginer être ceux des Cosaques. C’est une image efficace qui imprègne le poème d’un sentiment de danger imminent. Pastan est connue pour son affinité pour la métaphore et l’imagerie, et ces deux dispositifs sont pleinement en vigueur dans ce poème. Le danger associé aux Cosaques prend vie avec des images, mais les Cosaques sont en réalité une métaphore de la mort.
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