Le résumé des conquérants et la description du guide d’étude


Le poème de Phyllis McGinley « The Conquerors », qui a été publié dans sa collection lauréate du prix Pulitzer fois trois en 1960, traite d’un sujet sur lequel elle n’écrivait pas souvent. Connue à son époque comme poète ménagère de banlieue et écrivaine de vers légers, McGinley écrivait le plus souvent sur des sujets domestiques, des choses qui se passaient à la maison, en banlieue, des choses qui se passaient, comme elle devait le dire, devant sa fenêtre. Le sujet de « The Conquerors », cependant, influencé par les destructions causées par la Seconde Guerre mondiale, concerne les armes utilisées dans les combats et les tueries, ainsi que dans les batailles ou guerres massives et épiques.

McGinley, dans le livre L’écrivain observé, décrit la différence entre ses soi-disant vers légers et les poèmes avec du matériel plus lourd. Dans le livre, elle déclare qu’elle est arrivée à une distinction entre les deux : « l’attrait des vers légers est à l’intellect et l’attrait des vers sérieux est aux émotions ». Et c’est donc avec ce poème, « Les conquérants », que McGinley fait plus appel à l’intellect qu’aux émotions lorsqu’elle demande aux lecteurs de regarder l’absurdité de la guerre. L’idée maîtresse du poème est encore plus précise : elle demande aux Américains en particulier, avec leur fierté de monter en flèche devant la création de leur nouvelle arme de destruction, la bombe atomique, de regarder en eux-mêmes pour réexaminer leur conscience. Dans une tentative de sortir la conscience américaine de son utilisation erronée des découvertes scientifiques et d’inspirer les Américains à retrouver un sens de la moralité à l’égard de la vie humaine, elle se moque de ceux qui pourraient se vanter d’avoir tué des masses de personnes avec une seule petite bombe. Son poème rappelle aux Américains, ou à tous ceux qui le lisent, qu’il n’y a pas de quoi être fier dans aucune sorte de guerre. Elle le fait cependant sur un ton trompeusement léger, presque au point de faire rire ses lecteurs. Mais cela ne diminue pas le message. C’est juste la façon de McGinley de le livrer.



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