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La nouvelle de Paul Bowles « The Eye », écrite en 1976, a d’abord paru dans le Revue du Missouri en 1978 et a été réimprimé dans le Meilleures histoires américaines de 1979 et Le magazine mystère d’Ellery Queen (1981). Il est inclus dans la collection d’histoires de Bowles Messe de minuit (1981) et dans le Histoires de Paul Bowles (2001). Comme beaucoup d’histoires de Bowles, « The Eye » concerne des rencontres entre des étrangers, en l’occurrence un Canadien et le narrateur, et la culture marocaine. Bowles utilise la rencontre pour souligner le fossé entre les systèmes de croyance de l’Occident et du monde arabe, et pour mettre en évidence l’inscrutabilité de l’existence humaine. En tant qu’expatrié ayant passé la majeure partie de sa vie à Tanger, Bowles connaît intimement son sujet.
L’histoire elle-même, seulement deux mille mots, est accessible et enrichissante, donnant aux lecteurs occidentaux un aperçu d’une culture avec laquelle la plupart ne sont pas familiers. La curiosité d’un narrateur anonyme est éveillée lorsqu’il apprend la mort d’un homme qu’il n’a jamais rencontré, et il entreprend d’enquêter sur les circonstances de la mort de cet homme. Le style sobre et la prose simple de Bowles masquent une structure plus compliquée, car le narrateur, également expatrié, raconte une histoire sur sa tentative de comprendre une autre histoire. Le titre dérive du sort que le cuisinier marocain de la Canadienne croit avoir jeté sur sa fille. Les critiques ont commenté les idées de moralité, d’intention et de crime dans « The Eye ».
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