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La version de ce poème utilisée pour créer ce guide d’étude apparaît dans : Donne, John. « L’extase. » https://www.poetryfoundation.org/poems/44099/the-ecstasy.
Notez que les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux lignes du poème dont les citations sont tirées.
« The Ecstasy » est un poème tétramétrique iambique de 76 lignes écrit par le poète métaphysique et religieux anglais de la Renaissance John Donne. Parce qu’une grande partie des vers de Donne n’a pas été publiée de son vivant, il est difficile de dater la composition du poème. Mais l’intervalle de 20 ans dans lequel il est probablement apparu, 1590-1610, correspond à la fin de la Renaissance. Cette période de renouveau artistique et littéraire basée sur des thèmes classiques s’est épanouie dans l’Angleterre de la reine Elizabeth I, où Donne a vécu et écrit. Le fait que certains critiques voient « The Ecstasy » comme un défi aux idées néoplatoniciennes sur l’amour tandis que d’autres le considèrent comme une représentation sournoise de la séduction témoigne de la nature ambiguë mais profonde du poème. En dépeignant une expérience extatique, Donne utilise le prisme de l’amour pour examiner la question séculaire de l’âme contre le corps. En fin de compte, il transmet un message sur l’importance à la fois du charnel et du spirituel pour parvenir à une véritable compréhension de l’amour.
Le poème s’ouvre sur une scène pastorale de deux amants se tenant la main et se regardant dans les yeux. À partir de cet état de repos, les âmes des amants peuvent se tenir debout et se rencontrer en dehors de leur corps, les amenant ainsi à une plus grande compréhension de l’amour. L’amour mélange et unifie leurs âmes en une seule âme supérieure. Après avoir célébré le processus par lequel leurs âmes fusionnent en une seule, les amants considèrent alors le rôle de leurs corps, reconnaissant finalement que la chair a une importance égale dans l’expérience de tous les mystères de l’amour. Le poème se termine par le retour des âmes des amants dans leurs corps et l’observation que leur amour perdure même lorsqu’il est traduit du ciel sur la terre.
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