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Le texte, généralement classé comme un livre Nature et jardinage, présente l’argument selon lequel quatre plantes ont façonné l’évolution humaine au moins dans la même mesure que les humains ont façonné l’évolution de ces plantes. Le texte utilise le terme biologique standard « co-évolution » pour décrire ce processus synergique. Les quatre plantes considérées sont le Pommier, composé de Malus domestica et M. seiversii ; la Tulipe, composée d’environ 100 espèces du genre Tulipa ; La marijuana, composée des espèces Cannabis sativa et C. indica, ainsi que des hybrides ; et la pomme de terre, ou Solanum tuberosum. Le texte ne considère pas, ou même apparemment ne réalise pas, l’approche problématique de discuter de la co-évolution des espèces au niveau généralement du genre. La majeure partie du récit se compose d’expériences anecdotiques, d’observations personnelles, d’opinions et d’histoires thématiques résumées, qui ne soutiennent pas particulièrement la thèse principale.
Le livre est présenté en quatre chapitres, chacun considérant une plante particulière. Le chapitre 1 présente le pommier, avec un accent particulier sur ses fruits comestibles. Le chapitre considère généralement l’espèce Malus domestica mais inclut M. seiversii, considéré comme l’ancêtre primitif, dans certaines discussions. Un récit de base de l’histoire naturelle de la pomme est présenté sous forme de résumé, ainsi que des notes concises sur l’importance historique de la pomme dans la civilisation humaine. L’introduction de la pomme en Amérique est particulièrement bien développée, avec un focus presque complet sur les activités de John Chapman, mieux connu sous le nom de Johnny Appleseed. La pomme aurait exercé un impact décisif sur l’évolution humaine car elle est capable de satisfaire le désir de douceur de l’Homo sapiens.
Le chapitre 2 présente la tulipe, avec un gros focus sur sa fleur. Le chapitre considère l’ensemble du genre Tulipa et ne mentionne aucune des quelque 100 espèces qui le composent. Le texte considère l’évolution des tulipes et la co-évolution des humains et des tulipes mais n’élucide malheureusement pas les complexités de la théorie de l’évolution au niveau du genre – un échec majeur. Une explication rudimentaire de l’histoire naturelle de la tulipe est présentée. Ceci est complété par un récit de l’établissement de la tulipe comme fleur de jardin en Europe avec un accent particulier accordé à la Hollande, en particulier pendant la période dite de la tulipomanie au début des années 1600. Un compte rendu plus concis se concentre ensuite sur la tulipe en Turquie au début des années 1700. La tulipe aurait exercé un impact décisif sur l’évolution humaine car elle est capable de satisfaire le désir de beauté de H. sapiens.
Le chapitre 3 présente la marijuana. Le chapitre considère les espèces Cannabis sativa et C. indica, ainsi que les hybrides. Des matériaux supplémentaires considèrent d’autres drogues psychoactives et la classe entière est présentée comme une unité évolutive. Ainsi, le texte considère l’évolution de la marijuana et la co-évolution des humains et de la marijuana mais n’élucide malheureusement pas les complexités de la théorie de l’évolution envisagée pour de multiples espèces et hybrides. Une histoire naturelle assez alambiquée de la marijuana est proposée avec un accent particulier sur les développements américains. Le chapitre est le plus long du texte, mais la plupart des documents présentés sont une considération subjective des effets de l’utilisation de la marijuana en tant que drogue ; une grande partie de l’écriture est décousue et de nombreux sujets non développés sont mélangés. Les techniques de culture modernes sont brièvement décrites et l’implication sociologique plus large de la consommation de drogues psychoactives est considérée. La présentation est favorable à la consommation de drogue et très critique à l’égard de la criminalisation américaine de la marijuana et d’autres drogues psychoactives. La marijuana aurait exercé un impact décisif sur l’évolution humaine car elle est capable de satisfaire le désir d’intoxication de H. sapiens.
Le chapitre 4 présente Solanum tuberosum ou la pomme de terre. Une histoire naturelle bien développée de la pomme de terre, des Andes à l’Irlande en passant par l’Idaho, est présentée dans un format parfaitement lisible. L’impact de la pomme de terre sur diverses cultures est examiné et les techniques agricoles américaines modernes sont discutées en détail. L’auteur présente également des expériences personnelles de culture et de consommation de divers types de pommes de terre. Un autre sujet majeur concerne la pomme de terre NewLeaf, un organisme transgénique breveté de Monsanto Corporation. Des parties du chapitre étaient auparavant apparues sous forme de feuilleton, et la rigueur supplémentaire obtenue en retravaillant pour le livre est évidente. La pomme de terre aurait exercé un impact décisif sur l’évolution humaine car elle est capable de satisfaire le désir de contrôle de H. sapiens.
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