Le réalisateur de Babylon a « horrifié » son enfant de 3 ans en lui montrant une scène de Brad Pitt qu’il pensait que le garçon trouverait hilarante

Le réalisateur de Babylon a "horrifié" son enfant de 3 ans en lui montrant une scène de Brad Pitt qu'il pensait que le garçon trouverait hilarante

Vous auriez du mal à trouver beaucoup de moments classés G dans le nouveau film Babylonela dernière fonctionnalité de Coup de fouet et La La Terre réalisateur Damien Chazelle. L’hommage viscéral à Hollywood à la fin des années 1920 englobe la débauche et le chaos qui auraient caractérisé l’industrie, avec le sexe, la drogue et la musique jazz définissant ce que je considère comme l’un des meilleurs films sortis cette année (pour être juste, J’ai appelé ça en début d’année). Mais Chazelle est aussi un père, jonglant avec un nouveau-né et un enfant de trois ans, il est donc actuellement plongé dans des séances de visionnage marathon de La petite Sirène pendant qu’il attend que le monde voir Babylone sur grand écran. Mais Chazelle pensait pouvoir montrer un extrait de Babylone à son gosse. Une scène inoffensive qu’il pensait que le garçon aimerait. (Son présenté dans la bande-annonce du film!) Seulement, ça s’est retourné contre lui.

Damien Chazelle est revenu au ReelBlend podcast pour parler Babylone et rattraper les hôtes sur ses films précédents et ses projets en cours. Et dans le processus, il a raconté une histoire très drôle à propos de laisser son fils de 3 ans entrer dans sa salle de montage pour regarder un petit extrait de Babylone que le réalisateur supposait sûr… même drôle ! Sauf que ça s’est passé comme ça, selon Chazelle :

C’était un moment de ce que je pensais être un tarif totalement classé G. C’était Brad Pitt qui prononçait un discours sur un balcon, puis faisait un petit mouvement et reculait. J’ai pensé, ‘Oh, c’est comme, vous savez, Peter Sellers ou Chaplain. Ça va être drôle !’ Mon fils a perdu la tête. Il était horrifié. Il a pensé qu’il venait de voir quelqu’un mourir, et il est sorti en courant de la pièce en hurlant. Et pour la semaine suivante, il en avait en quelque sorte pour moi. Il était juste… ke n’arrêtait pas de dire, ‘l’homme tombe, l’homme tombe.’ Comme s’il avait vu un snuff film ou quelque chose comme ça. Depuis lors, chaque fois que j’essaie de lui donner un aperçu de ce sur quoi je travaille, il l’évite comme la peste. Comme il le devrait peut-être.

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