L’article explore comment le prince de Galles, en tant que membre de la famille royale, a cherché à mener une vie normale pendant ses études à l’université de St Andrews. Utilisant le faux nom « Steve », il essayait d’échapper à l’attention médiatique tout en faisant preuve de sélectivité avec ses amis. Le texte aborde également sa relation avec Kate, mentionnant leur utilisation de pseudonymes pour se protéger lors de leurs voyages et l’emploi de noms de code pour assurer leur sécurité dans le cadre royal.
Être membre de la famille royale rend la discrétion un véritable défi, mais pas impossible. Le prince de Galles a su trouver une stratégie pour passer inaperçu durant son temps à l’université. En effet, pendant ses études à St Andrews, en Écosse, il a adopté le pseudonyme de « Steve » afin de brouiller les pistes et éviter les paparazzis, selon Robert Jobson dans son ouvrage, Catherine, la princesse de Galles.
Bien que les médias aient accepté de respecter sa vie privée, le prince William a tout de même permis certaines photos et interactions, notamment lors de son arrivée à l’université en septembre 2001. Il a également dû faire preuve de discernement dans le choix de ses amis, en préférant ceux en qui il avait confiance.
Jobson précise que, parmi ses camarades, William a choisi d’employer le nom de « Steve » pour maintenir un profil bas. Il voulait se protéger des personnes cherchant à tirer profit de sa notoriété. « Je m’en sépare rapidement », a-t-il confié, « je ne suis pas naïf. »
Cependant, ce n’est pas sous le nom de « Steve » que William sera connu. Au fil de sa relation avec Kate, qui a évolué durant leur temps à l’université, le couple partageait souvent des escapades, se rendant notamment à Highgrove ou Sandringham.
Mais leur désir d’échapper aux regards indiscrets les poussait aussi à adopter d’autres identités lorsqu’ils quittaient les résidences royales. « Ils se présentaient parfois dans les hôtels en tant que M. et Mme Smith, un stratagème qui n’aura sans doute pas trompé grand monde », a noté Jobson.
Après une brève séparation en 2007, lorsque leur relation a repris, William et Kate se sont également évadés aux Seychelles. Comme lors de précédents voyages, ils ont utilisé de faux noms, se faisant appeler Martin et Rosemary Middleton dans leur hôtel, comme l’a indiqué la journaliste Marcia Moody dans sa biographie de la princesse en 2013.
Leur plan de discrétion a semblé porter ses fruits, leur permettant d’apprécier des activités comme le kayak et la plongée en apnée dans un cadre idyllique.
Une fois mariés en 2011 et intronisés duc et duchesse de Cambridge, William et Kate ont vu leurs équipes de sécurité adopter un système de noms de code. Des appellations telles que « Danny Collins » et « Daphne Clark » auraient été intégrées aux listes de contacts pour préserver leur intimité, d’après des informations révélées précédemment.
Ce procédé garantissait que si un téléphone était perdu, quiconque essayant d’y accéder ne pourrait pas identifier leurs vrais noms. Les initiales « DC » dans ces noms de code renvoient au titre royal des époux, le duc et la duchesse de Cambridge.
La famille royale recourt régulièrement à ces noms de code pour protéger des informations sensibles. Laura Windsor, experte royale, a expliqué dans Reader’s Digest que ces mesures sont essentielles pour la sécurité, permettant d’éviter que des informations cruciales soient divulguées avant même que la famille royale n’en prenne connaissance.
Ces noms secrets et codes sont, en somme, des outils précieux permettant aux membres de la royauté de mener leurs activités en toute tranquillité, loin des tumultes médiatiques.