[ad_1]
« The Bridge Across Forever: a Lovestory » de Richard Bach est une œuvre de non-fiction. L’histoire commence avec Richard Bach attendant une femme sans nom. L’auteur est assis dans le cockpit de son biplan dans un terrain loué à Russell, Iowa. C’est l’automne. Il y a près de 60 voitures autour du champ de foin et Bach espère que la femme sera dans la foule. La foule est là pour voir un spectacle et Bach emmène son avion à travers une série de manœuvres conçues pour épater la foule.
Bach se bat pour ne pas être distrait pendant qu’il scrute la foule à la recherche de la femme – la femme parfaite – destinée à être son âme sœur.
Bach fait référence à sa relation avec son collègue pilote Donald Shimoda, qui s’avère être le Messie spirituel de Bach. Shimoda est décédé depuis mais reste toujours en contact avec Bach qui a souvent besoin de conseils spirituels.
Bach décide qu’il est temps de passer à autre chose et vend son biplan bien-aimé avant de se rendre en Floride. Une fois en Floride, Bach contacte son agent, Eleanor, et découvre que son dernier livre figure sur la liste des best-sellers du Publisher’s Weekly et du New York Times, deux positions très prestigieuses. Bach apprend qu’il est millionnaire et est complètement déconcerté par la somme d’argent et ce qu’il faut en faire. Bach achète un nouvel avion et prend des dispositions pour embaucher un directeur financier, un avocat fiscaliste et un directeur commercial, ce qui s’avère être de mauvais choix et qui changent la vie.
La relation de Bach avec Leslie Parrish est décrite en détail. Bach parle aussi d’autres femmes avec lesquelles il entretient des relations occasionnelles. Leslie est différente en ce qu’elle est l’amie et la partenaire commerciale la plus proche de Bach. Les deux finissent par tomber amoureux, ce qui est complètement contre la nature de Bach.
Bach décrit en détail sa quête spirituelle, dont une grande partie reflète les expériences de Leslie. Il y a une référence à l’autohypnose, à la projection astrale, à la réincarnation, aux rêves auto-programmés, aux âmes sœurs, à la véritable absence de temps, et bien plus encore.
Bien que le livre soit principalement chronologique, il survole certaines choses et a tendance à partir sur des tangentes.
C’est la première œuvre véritablement autobiographique de Bach qui peut être attribuée, au moins en partie, à Leslie et au besoin d’écrire sur elle et leur relation.
Les problèmes financiers de Bach avec l’IRS font partie intégrante du livre. En raison des gestionnaires incompétents et apathiques de Bach, l’auteur perd environ 800 000 $ de sa nouvelle richesse. De plus, aucun des gérants ne semble le moins du monde désolé et ne sera certainement pas tenu responsable des pertes. Même si les pertes sont si importantes que Bach n’aura aucune obligation fiscale, les gestionnaires n’en informent pas l’IRS et Bach finit par devoir 1 million de dollars. Après 4 ans, beaucoup d’ennuis et de chagrin, Bach déclare faillite. John Marquart, l’avocat fiscaliste de Bach engagé par Leslie, fait de son mieux pour démêler et régler l’affaire. Pendant ce temps, Marquart relaie le fonctionnement de l’IRS et détaille de nombreuses politiques absurdes de l’agence et son désir d’éviter le blâme à tout prix.
Bach croit que chaque événement de la vie est auto-imposé pour avancer sur le plan spirituel. Alors que Bach explore cette croyance, lui et Leslie reconstruisent ce qui a été perdu et se concentrent sur la construction d’une nouvelle vie ensemble.
[ad_2]
Source link