Jonathan est un homme NON – pas d’amis, pas de famille, pas d’animaux, … non rien !
Ses lendemains sont des répliques d’hier, transformant sa vie en une sorte de mélodie longue, ennuyeuse et monotone…
Jusqu’à ce jour fatal du pigeon !
Au moment où il a posé les yeux sur ce fameux pigeon dans le couloir, le chaos a éclaté !
Son abri n’était plus sûr, il était impérieux d’en sortir… vite et furieusement !
Agressé par un bouleversement émotionnel, il s’enfuit !…
Cependant, l’inconnu était là, attendant dans tous les coins, le menaçant, assumant toutes sortes de dangers auxquels il fallait faire face…
Que pouvait-il faire pour se dégager d’une image aussi menaçante ?
Comme dans la chanson Simon de Paul, « la réponse est facile si on la prend logiquement »: ?
S’il voulait tant la liberté, il était temps d’affronter le pigeon !!!…
Quand il s’agit de peurs, la vie est un chasseur impitoyable :
Un beau jour, l’une de ces peurs que nous avons laissées intactes, roulant et rampant là-bas, émerge hardiment de tout le groupe et commence à frapper à notre porte de manière agaçante, jusqu’à ce que nous ne trouvions aucune autre option, à part l’affronter courageusement !…
Par conséquent, à titre de mesure de prévention, voici mon astuce :
Mieux vaut commencer à chasser vos propres peurs, juste au cas où elles continueraient à atterrir dans votre couloir, dans une longue file d’attente terrifiante !… ?
Merci beaucoup « Pigeon », de m’avoir amené à une telle conclusion ! ??
On a tendance à oublier ce genre de choses simples (bien qu’assez utiles) ! ??