mercredi, décembre 25, 2024

Le père de Randal Dooley, reconnu coupable du meurtre de son fils, obtient une libération conditionnelle totale

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Un père reconnu coupable du meurtre de son fils dans une horrible affaire de maltraitance sur enfant a obtenu une libération conditionnelle totale et devrait être expulsé vers la Jamaïque à sa libération.

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Edward Dooley a été reconnu coupable, avec son épouse, de meurtre au deuxième degré en 2002 pour la mort de son fils Randal, âgé de sept ans.

Dooley a été condamné à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle avant 13 ans.

Dans une décision récente, la Commission des libérations conditionnelles du Canada a déclaré qu’elle accordait à Dooley la libération conditionnelle totale, estimant qu’il ne présenterait pas de risque excessif pour la société s’il était libéré.

Un plan de libération dans la décision indique que Dooley serait placé sous la garde de l’Agence des services frontaliers du Canada après sa libération et serait expulsé peu de temps après.

La décision de la Commission des libérations conditionnelles indique que Dooley devrait vivre avec sa sœur en Jamaïque jusqu’à ce qu’il trouve son propre logement.

Lors du procès de Dooley et de sa femme, le tribunal a appris que Randal avait été brutalement maltraité pendant des mois après que lui et son frère soient venus de la Jamaïque pour vivre avec leur père et leur belle-mère à Toronto en 1997.

Le tribunal a appris que Randal ne pesait que 41 livres lorsqu’il est décédé en 1998 et avait 13 côtes fracturées, un foie lacéré, de multiples lésions cérébrales et des contusions sur tout le corps.

Le procès a révélé que c’était la belle-mère qui avait frappé mortellement Randal et lui avait infligé la plupart des abus, tandis que son mari fermait les yeux sur ses actes.

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